Une économie couleur asperge

Selon le Programme des nations unies pour l'environnement (PNUE), la notion d'économie verte est une économie qui permet de façon palpable une amélioration du bien-être humain et de l'équité sociale, tout en réduisant de manière significative et non des moindres tous les risques environnementaux et la pénurie de ressources pouvant par la suite nuire et porter atteinte à la stabilité de l'être humain.L'émergence de cette économie, aura un impact direct sur plusieurs métiers, transport, bâtiment, industrie, agriculture..., ils sont sept secteurs d'activité à être touché de façon direct ou indirect d'après l'Organisation Internationale du Travail.
Ces différents métier se traduiront sur le terrain de plusieurs façon, contribution à la réduction énergétique dans les secteurs les plus énergivore tel que l'industrie ou le bâtiment, l'entretien des villes, le développement d'une agriculture moderne, l'adaptation du secteur des transports et la réduction des émissions de gaz dans les villes.
Dans l'ensemble, l'économie verte, c'est une série de démarche que chaque état, collectivité, société ou même petit organisme peut développer.
Dans l'économie verte, la génération et la croissance des recettes et la création d'emplois sont favorisées par des investissements d'ordre publics et privés caractérisés par une meilleure utilisation des ressources dans le contexte mondiale de lutte contre les changements climatiques, une réduction des émissions de carbone, des déchets et de la pollution, la prévention de la perte de la biodiversité et de la dégradation des écosystèmes. Les technologies et les industries vertes sont dans la croissance verte le moteur de la croissance économique nationale.
Idir Nasser BELKEBIR
Partenariat Réd-DIG-"Liberté"(#RDL) / INJAZ El Djazair Alumni