Les fans de la chanteuse de musique andalouse, Beihdja Rahal, vendredi dernier, n'ont pas eu pour leur argent. Et pour cause. Ayant payé 500 DA le ticket d'entrée, ils n'ont eu droit qu'à un récital de quelque trois quarts d'heure, alors qu'ils s'étaient déplacés pour une soirée qu'ils espéraient mémorable.
Mais, la chanteuse n'y était pour rien. Le récital, organisé par l'Etablissement Arts et Culture à la salle Ibn-Khaldoun, a dû être interrompu à cause d'une... coupure d'électricité. Ce que l'assistance, venue nombreuse, n'arrivait pas à s'expliquer, surtout que la salle en question avait été complètement rénovée et à coups de milliards. Comment une enceinte aussi emblématique peut-elle être à la merci d'un tel aléa, alors qu'elle est censée être dotée d'au moins un groupe électrogène prêt à fonctionner en cas de besoin '
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 25/02/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Rubrique Radar
Source : www.liberte-algerie.com