Algérie

Une consultation nationale sur le système d'évaluation en février


Une consultation nationale sur le système d'évaluation en février
La ministre de l'Education a animé hier un point de presse à l'issue de sa visite dans plusieurs établissements de la wilaya d'Alger, en compagnie du wali.La ministre de l'Education a animé hier un point de presse à l'issue de sa visite dans plusieurs établissements de la wilaya d'Alger, en compagnie du wali.L'épineux dossier des logements occupés encore par des ex-responsables, aujourd'hui en retraite, a été évoqué, de même que des classes transformées en logements par des familles qui y habitent depuis des années. Benghabrit admet que la situation "est complexe", saluant par là même les autorités de la wilaya qui ont mis à disposition des logements pour régler un tant soit peu la situation.Sur le même sujet, la ministre a reconnu qu'il existe bien des ex-responsables qui ont obtenu des logements, mais qui continuent d'habiter dans leurs établissements, empêchant du coup les directeurs actuellement en fonction d'assumer pleinement leurs missions. A propos de la surcharge des classes, la ministre préconise de nuancer le constat, en ce sens que le phénomène n'est pas quelque chose de systématique, selon elle.Et pour les cas avérés, explique-t-elle encore, les réponses doivent être d'ordre pédagogique, avec un accompagnement spécifique. "Avoir 40 élèves dans une classe ne constitue pas un frein, il s'agit juste de mette en place des techniques pédagogiques basées sur la concertation entre les inspecteurs et les enseignants", dit-elle. S'agissant d'éventuels changements à apporter aux systèmes d'examens, la ministre de l'Education a annoncé "une consultation nationale pour passer au crible le système d'évaluation".Concernant le retard de quatre semaines accumulé lors du premier trimestre, Benghebrit relativise en expliquant que "le phénomène n'est pas constaté partout, mais dans certains établissements, dans certaines classes du même établissement, on ne peut pas généraliser une situation particulière, mais il y a un travail de régulation pédagogique pour rattraper ce retard".L'épineux dossier des logements occupés encore par des ex-responsables, aujourd'hui en retraite, a été évoqué, de même que des classes transformées en logements par des familles qui y habitent depuis des années. Benghabrit admet que la situation "est complexe", saluant par là même les autorités de la wilaya qui ont mis à disposition des logements pour régler un tant soit peu la situation.Sur le même sujet, la ministre a reconnu qu'il existe bien des ex-responsables qui ont obtenu des logements, mais qui continuent d'habiter dans leurs établissements, empêchant du coup les directeurs actuellement en fonction d'assumer pleinement leurs missions. A propos de la surcharge des classes, la ministre préconise de nuancer le constat, en ce sens que le phénomène n'est pas quelque chose de systématique, selon elle.Et pour les cas avérés, explique-t-elle encore, les réponses doivent être d'ordre pédagogique, avec un accompagnement spécifique. "Avoir 40 élèves dans une classe ne constitue pas un frein, il s'agit juste de mette en place des techniques pédagogiques basées sur la concertation entre les inspecteurs et les enseignants", dit-elle. S'agissant d'éventuels changements à apporter aux systèmes d'examens, la ministre de l'Education a annoncé "une consultation nationale pour passer au crible le système d'évaluation".Concernant le retard de quatre semaines accumulé lors du premier trimestre, Benghebrit relativise en expliquant que "le phénomène n'est pas constaté partout, mais dans certains établissements, dans certaines classes du même établissement, on ne peut pas généraliser une situation particulière, mais il y a un travail de régulation pédagogique pour rattraper ce retard".
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