«Une chaîne de proximité, interactive et différente»

-C'est le retour de l'enfant «prodige»?Ma toute première expérience, je ne peux l'oublier. C'est celle de la télévision algérienne qui m'a formé. J'ai 32 ans de métier. J'ai appris les normes et les lois internationales. Je suis venu lancer une chaîne de télévision (KBC) avec d'anciens journalistes de mon époque. Les frères d'El Khabar. Et puis, c'est pour le partage de mon humble expérience. Un défi pour les jeunes Algériens. Il s'agit d'aller vers des formats un peu américains. Une chaîne TV de proximité, vitale et interactive.-Vous voulez maquer votre différence?On veut être différent. KBC est un nouveau media. Nous sommes conscients des exigences des téléspectateurs. Nous sommes conscients aussi du défi et de leurs attentes. Une chaîne de télévision présentant une force de proposition avec une expertise de professionnels étrangers.-La teneur de la chaîne KBC 'Le contenu des programmes est exclusivement algérien. Cela fait deux mois que je dirige la chaîne d'El Khabar, KBC. Ailleurs, il faut cinq mois pour mettre en place tout cela. Un record ! C'est un grand travail. Une opportunité pour les jeunes. Une ambition, un challenge. Les critiques sont les bienvenues. On s'améliore. Le format est nouveau. On veut être professionnel, neutre et objectif.Il faut le montrer...