Une centaine de participantes à la 8e édition

Une centaine de participantes ont pris part à la 8e édition du Salon de créativité féminine de Médéa, ouverte mardi à la Maison de l'artisanat.Ce salon, qui prend fin aujourd'hui 8 mars, a mis en compétition des femmes créatrices d'une dizaine de localités, sélectionnées pour la phase finale du concours de la meilleure création féminine, organisé conjointement par les directions du tourisme et de l'artisanat et de la culture.
Les participantes au Salon ont exposé des produits culinaires traditionnels et le fruit de leurs travaux manuels et d'artisanat, couvrant des domaines très variés, tels que la peinture sur soie, la broderie, la tapisserie, le prêt-à-porter, inspirés du patrimoine ancestral local, avec, toutefois, une "touche moderne" pour séduire une potentielle clientèle féminine, avide d'authenticité et d'originalité.
Les visiteurs ont pu, à l'occasion de cette manifestation culturelle, découvrir un large éventail de travaux manuels féminins traditionnels, déclinés sous des formes affinées et adaptées à notre époque, notamment en matière de literie, d'habits d'apparat, de produits de décoration d'intérieur et floraux, reflétant le savoir-faire féminin local. Au-delà de son aspect compétitif, ce Salon représente une aubaine pour ces jeunes créatrices, dont beaucoup espèrent faire bonne impression sur le public et tirer profit de la présence des opérateurs économiques locaux pour se faire connaître et décrocher d'éventuels contrats de vente, indispensables à la survie de leurs métiers. Ce Salon constitue, en outre, une opportunité pour promouvoir des métiers séculaires, comme le travail de la laine, du cuir et de la poterie, menacés de disparition par la forte concurrence des produits d'importation, et que tentent de sauvegarder des "mains ingénieuses", venues des lointains villages de l'ancienne capitale du Titteri.
Une centaine de participantes ont pris part à la 8e édition du Salon de créativité féminine de Médéa, ouverte mardi à la Maison de l'artisanat.
Ce salon, qui prend fin aujourd'hui 8 mars, a mis en compétition des femmes créatrices d'une dizaine de localités, sélectionnées pour la phase finale du concours de la meilleure création féminine, organisé conjointement par les directions du tourisme et de l'artisanat et de la culture.
Les participantes au Salon ont exposé des produits culinaires traditionnels et le fruit de leurs travaux manuels et d'artisanat, couvrant des domaines très variés, tels que la peinture sur soie, la broderie, la tapisserie, le prêt-à-porter, inspirés du patrimoine ancestral local, avec, toutefois, une "touche moderne" pour séduire une potentielle clientèle féminine, avide d'authenticité et d'originalité.
Les visiteurs ont pu, à l'occasion de cette manifestation culturelle, découvrir un large éventail de travaux manuels féminins traditionnels, déclinés sous des formes affinées et adaptées à notre époque, notamment en matière de literie, d'habits d'apparat, de produits de décoration d'intérieur et floraux, reflétant le savoir-faire féminin local. Au-delà de son aspect compétitif, ce Salon représente une aubaine pour ces jeunes créatrices, dont beaucoup espèrent faire bonne impression sur le public et tirer profit de la présence des opérateurs économiques locaux pour se faire connaître et décrocher d'éventuels contrats de vente, indispensables à la survie de leurs métiers. Ce Salon constitue, en outre, une opportunité pour promouvoir des métiers séculaires, comme le travail de la laine, du cuir et de la poterie, menacés de disparition par la forte concurrence des produits d'importation, et que tentent de sauvegarder des "mains ingénieuses", venues des lointains villages de l'ancienne capitale du Titteri.