Algérie

Une campagne de dénigrement pour quels desseins '



Une campagne de dénigrement pour quels desseins '
Les réseaux sociaux et la presse étrangère s'en prennent à l'Algérie et à l'élection présidentielle. Le ton est donné sous forme de dérision, commentaires acerbes et portraits de « guignols » de candidats au scrutin.Les réseaux sociaux et la presse étrangère s'en prennent à l'Algérie et à l'élection présidentielle. Le ton est donné sous forme de dérision, commentaires acerbes et portraits de « guignols » de candidats au scrutin.Une campagne qui renseigne bien sur les desseins inavoués de certains protagonistes.Sur ce plan, le Web et les réseaux sociaux sont en pleine verve. Les blogs et sites électroniques s'en donnent à c'ur joie en développant des commentaires acides, blagues et dérision comme moyens de communications. Les plus virulents mettent en avant des phrases et photos du Président avec Sellal sur un fauteuil roulant en train de courir à vive allure. Même les autres candidats ne sont pas épargnés.C'est dire l'ampleur de l'agitation Internet qui met les bouchées doubles sur une campagne d'un autre genre. Selon le politologue Rachid Grim « cette forme de communication permet aux internautes d'échapper à la censure établie par le discours officiel ». Elle permet selon les psychologues consultés de « s'intéresser à la politique dans une registre plus subjectif ». Les commentaires sérieux sont laissés à la presse politique étrangère qui, s'autorise des analyses sur le 4e mandat de Bouteflika.Les journaux français à l'instar de Le Monde, l'Express, le Figaro consacrent leurs manchettes à l'élection du 17 avril en prenant compte de la situation exceptionnelle que vit l'Algérie. Ainsi pour le Monde « Bouteflika et la stagnation » comme dernier titre de commentaire brosse un tableau peu reluisant du bilan de Bouteflika durant ces 15 ans de règne. Le chroniqueur met en avant « un pays jeune gouverné par la gérontocratie ».Le Figaro ne s'embarrasse pas des formules « où est passée l'opposition ' ». Même la presse américaine dont le Washington Post s'est illustré par une chronique portant sur l'enjeu électoral et l'avenir du pays après le scrutin, est vue comme un ballon de sonde par l'establishment américain lancé pour voir de près le bouillonnement de la réalité politique et sociale de l'Algérie.Toutefois, il y a un bémol sur cette façon de s'en prendre à un pays qui confirme sa réussite progressive à une réforme politique et économique en évitant les « bains de sang » et les « affrontements violents » que d'aucuns constatent sur la scène arabe. Les spécialistes dans leurs analyses abondantes ont raison de signaler que « l'Algérie vit une exception par rapport à certains pays où les gouvernements sont défaits en quelques jours ».Bien que la crise politique algérienne ait été une source d'appréciation diverse par les différents antagonistes au pouvoir en place, il y a lieu de rappeler que pour l'heure beaucoup de pays parmi les puissants accordent un intérêt crucial à l'élection présidentielle tout en considérant la stabilité et la continuité des réformes comme une poursuite normale du processus enclenché il y a quelques années pour recouvrer totalement la paix civile et la stabilité institutionnelle.La presse étrangère omet souvent ces considérations et se montre « myope » sur certaines réalisations et la nouvelle dynamique économique. L'Union européenne vient dernièrement de donner une cinglante « gifle » aux différents protagonistes qui agitaient depuis peu le spectre des « troubles » et de la « guerre civile ».Une campagne qui renseigne bien sur les desseins inavoués de certains protagonistes.Sur ce plan, le Web et les réseaux sociaux sont en pleine verve. Les blogs et sites électroniques s'en donnent à c'ur joie en développant des commentaires acides, blagues et dérision comme moyens de communications. Les plus virulents mettent en avant des phrases et photos du Président avec Sellal sur un fauteuil roulant en train de courir à vive allure. Même les autres candidats ne sont pas épargnés.C'est dire l'ampleur de l'agitation Internet qui met les bouchées doubles sur une campagne d'un autre genre. Selon le politologue Rachid Grim « cette forme de communication permet aux internautes d'échapper à la censure établie par le discours officiel ». Elle permet selon les psychologues consultés de « s'intéresser à la politique dans une registre plus subjectif ». Les commentaires sérieux sont laissés à la presse politique étrangère qui, s'autorise des analyses sur le 4e mandat de Bouteflika.Les journaux français à l'instar de Le Monde, l'Express, le Figaro consacrent leurs manchettes à l'élection du 17 avril en prenant compte de la situation exceptionnelle que vit l'Algérie. Ainsi pour le Monde « Bouteflika et la stagnation » comme dernier titre de commentaire brosse un tableau peu reluisant du bilan de Bouteflika durant ces 15 ans de règne. Le chroniqueur met en avant « un pays jeune gouverné par la gérontocratie ».Le Figaro ne s'embarrasse pas des formules « où est passée l'opposition ' ». Même la presse américaine dont le Washington Post s'est illustré par une chronique portant sur l'enjeu électoral et l'avenir du pays après le scrutin, est vue comme un ballon de sonde par l'establishment américain lancé pour voir de près le bouillonnement de la réalité politique et sociale de l'Algérie.Toutefois, il y a un bémol sur cette façon de s'en prendre à un pays qui confirme sa réussite progressive à une réforme politique et économique en évitant les « bains de sang » et les « affrontements violents » que d'aucuns constatent sur la scène arabe. Les spécialistes dans leurs analyses abondantes ont raison de signaler que « l'Algérie vit une exception par rapport à certains pays où les gouvernements sont défaits en quelques jours ».Bien que la crise politique algérienne ait été une source d'appréciation diverse par les différents antagonistes au pouvoir en place, il y a lieu de rappeler que pour l'heure beaucoup de pays parmi les puissants accordent un intérêt crucial à l'élection présidentielle tout en considérant la stabilité et la continuité des réformes comme une poursuite normale du processus enclenché il y a quelques années pour recouvrer totalement la paix civile et la stabilité institutionnelle.La presse étrangère omet souvent ces considérations et se montre « myope » sur certaines réalisations et la nouvelle dynamique économique. L'Union européenne vient dernièrement de donner une cinglante « gifle » aux différents protagonistes qui agitaient depuis peu le spectre des « troubles » et de la « guerre civile ».




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