Depuis l'entame de la campagne agricole 2020-2021, les agriculteurs de la région font montre d'un dynamisme pour la culture des légumineuses, sans doute encouragés par les conditions pluviométriques très propices.À la faveur des dernières pluies de ce mois de décembre, nos agriculteurs seront très nombreux à saisir cette occasion bénie pour augmenter la plantation de petits pois que la plupart cultivent sans irrigation. Ceci ne sera possible que si les pluies se maintiennent à un niveau non négligeable.
Ce féculent a l'avantage d'entrer sur le marché dès la fin de l'automne pour finir au printemps. Cette légumineuse est très prisée par les consommateurs avec laquelle ils réalisent des plats très variés.
Comme la plupart des végétaux de cette famille, le petit pois contient également un pourcentage non négligeable de protéines végétales, ce qui lui confère des qualités nutritionnelles indiscutables. Ce n'est point sans raison que durant les années de profusion, les ménagères en conservaient de grandes quantités en les congelant déjà, en prévision du mois sacré de Ramadhan.
Disponibles sur les étals depuis plus d'un mois, les premiers petits pois proviennent de champs que les fellahs ont cultivés par l'apport d'une irrigation supplémentaire.
Mais contrairement aux années précédentes durant lesquelles la pluviométrie était mesurée, les dernières précipitations auront grandement contribué à l'entretien en bon état des cultures. Ce qui explique des rendements inattendus et des revenus intéressants pour les producteurs, quand on sait qu'il est attendu 25 quintaux à l'hectare. À travers la campagne, le citoyen constate à perte de vue des rangées interminables de ce légume. Le stade des cultures est actuellement entre la levée et la floraison. En perspective, une bonne et abondante récolte est attendue tant par les cultivateurs que par les consommateurs.
Dans la wilaya de Mostaganem, on table sur une récolte de 3 millions de quintaux et peut-être plus, pour atteindre un record de 30 quintaux à l'hectare. L'optimisme est de mise.
A. Bensadok
Une baleine morte échoue sur une plage près de Khadra
Le mammifère marin a été retrouvé en état de décomposition avancé dans la nuit du 3 au 4 janvier sur un massif rocailleux, près d'une plage à Khadra, relevant du chef-lieu de la daïra de Achaâcha.
C'est un phénomène rarement observé sur le littoral algérien. Le cétacé est long de quatre mètres et pèse huit tonnes environ. Un cordon de sécurité a été mis en place autour de cette baleine, pour que les scientifiques de l'université puissent l'examiner et déterminer les causes de sa mort. Selon les spécialistes de la station de wilaya du Commissariat du littoral, la baleine présentait des morsures de requin. Le cadavre de l'animal a été enfoui sous terre par les services de l'APC de Khadra en présence des éléments de la gendarmerie et des représentants de la Direction de l'environnement et du Commissariat du littoral.
A. B.
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Posté Le : 05/01/2021
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Abder Bensadok
Source : www.lesoirdalgerie.com