Algérie

Une bombe à retardement!



Les rapports récents de la Gendarmerie nationale et la DGSN ont mis en lumière des indices inquiétants sur l'augmentation de la criminalité chez la catégorie juvénile.Les rapports récents de la Gendarmerie nationale et la DGSN ont mis en lumière des indices inquiétants sur l'augmentation de la criminalité chez la catégorie juvénile.
En effet, selon un rapport récent des services de sécurité, les années 2018 et 2019 ont vu grimper leseuil de la violence chez les jeunes. C'est la tranche d'âge entre 15 et 25 ans, qui est la plus visée, avec une moyenne entre 16.000 et 18.000 délinquants présentés aux différents parquets de la justice.
Bien que le bilan global de toute l'année 2019, n'ait pas été établi et serait en cours de finalisation, la DGSN a estimé que "les grandes agglomérations sont les plus indiquées dans cette montée en flèche des agressions physiques et atteintes aux biens d'autrui". Ils'agit des villes comme Alger, Constantine, Boumerdès, Annaba et Oran, qui détiennent les records en termes de criminalité juvénile. Les affaires liées aux délits des mineurs sont en hausse, et s'établissent en moyenne, à 36,5% du taux de criminalité globale, estimé chaque année. Rien qu'en janvier de l'année 2019, prés de 34.685 affaires ont été établis par la DGSN, et ceci en 1mois, alors que durant l'année 2018, pas moins de 28.571 affaires liées aux différents délits, ont été enregistrées à la même période.
Les services de sécurité soulignent dans leurs différents comptesrendus, que "le vol et l'agression physique contre de tierces personnes, sont les caractéristiques des jeunes délinquants". Pour sa part, la GN a actionné durant l'année 2019, par le biais de sa brigade de protection des mineurs, pré de 391 enquêtes judiciaires, touchant les établissements de scolarité et ont effectué 341 contrôles dans les crèches. La GN estime, que 70% de ces actions sont destinés, surtout à la prévention contre les délits dont des mineurs sont parfois victimes, mais aussi responsables d'actes liées à la petite criminalité. Une telle situation a obligé les services de la sécurité (DGSN et Gendarmerie nationale), à créer des brigades spéciales pour mener des campagnes de sensibilisation, à l'endroit de la frange juvénile. Ces services, selon ces responsables,
"vont sillonner les établissements scolaires, pour établir des contacts de proximité et mener des campagnes explicatives sur les dangers des fléaux, et l'impact de la délinquance". Les enquêtes révèlent également, que les mineurs sont victimes d'enlèvement et de séquestration, dans 20% des cas. Mais ce chiffre tend à la baisse, grâce aux différentes actions préventives et la création d'un réseau associatif, qui s'implique dans la sensibilisation et l'alerte, et la protection contre de tels phénomènes. C'est l'une des raisons qui fait, que ce travail doit continuer, car la méthode répressive ne suffit pas à endiguer ces fléaux.
En effet, selon un rapport récent des services de sécurité, les années 2018 et 2019 ont vu grimper leseuil de la violence chez les jeunes. C'est la tranche d'âge entre 15 et 25 ans, qui est la plus visée, avec une moyenne entre 16.000 et 18.000 délinquants présentés aux différents parquets de la justice.
Bien que le bilan global de toute l'année 2019, n'ait pas été établi et serait en cours de finalisation, la DGSN a estimé que "les grandes agglomérations sont les plus indiquées dans cette montée en flèche des agressions physiques et atteintes aux biens d'autrui". Ils'agit des villes comme Alger, Constantine, Boumerdès, Annaba et Oran, qui détiennent les records en termes de criminalité juvénile. Les affaires liées aux délits des mineurs sont en hausse, et s'établissent en moyenne, à 36,5% du taux de criminalité globale, estimé chaque année. Rien qu'en janvier de l'année 2019, prés de 34.685 affaires ont été établis par la DGSN, et ceci en 1mois, alors que durant l'année 2018, pas moins de 28.571 affaires liées aux différents délits, ont été enregistrées à la même période.
Les services de sécurité soulignent dans leurs différents comptesrendus, que "le vol et l'agression physique contre de tierces personnes, sont les caractéristiques des jeunes délinquants". Pour sa part, la GN a actionné durant l'année 2019, par le biais de sa brigade de protection des mineurs, pré de 391 enquêtes judiciaires, touchant les établissements de scolarité et ont effectué 341 contrôles dans les crèches. La GN estime, que 70% de ces actions sont destinés, surtout à la prévention contre les délits dont des mineurs sont parfois victimes, mais aussi responsables d'actes liées à la petite criminalité. Une telle situation a obligé les services de la sécurité (DGSN et Gendarmerie nationale), à créer des brigades spéciales pour mener des campagnes de sensibilisation, à l'endroit de la frange juvénile. Ces services, selon ces responsables,
"vont sillonner les établissements scolaires, pour établir des contacts de proximité et mener des campagnes explicatives sur les dangers des fléaux, et l'impact de la délinquance". Les enquêtes révèlent également, que les mineurs sont victimes d'enlèvement et de séquestration, dans 20% des cas. Mais ce chiffre tend à la baisse, grâce aux différentes actions préventives et la création d'un réseau associatif, qui s'implique dans la sensibilisation et l'alerte, et la protection contre de tels phénomènes. C'est l'une des raisons qui fait, que ce travail doit continuer, car la méthode répressive ne suffit pas à endiguer ces fléaux.


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