Une autre conspiration

Nouvelle «partition». Les ennemis d'une Algérie forte, stable et en paix passent à une nouvelle phase. Après avoir échoué avec les chômeurs, à Ouargla notamment, après avoir vainement tenté la division communautaire, au Sud en général et au M'zab en particulier, Après avoir essayé de tromper des pans du monde du travail avec le «syndicalisme sauvage», après avoir planifié des attentats contre nos ressources comme à Tiguentourine, ces «experts» en subversion se tournent vers nos étudiants. C'est ce qui ressort du démenti fait, jeudi dernier, par notre ministre de l'Enseignement supérieur, Tahar Hadjar, suite à l'information donnée par un site étranger sur une «augmentation de la bourse d'études universitaires» en Algérie. A noter que cette désinformation intervient au même moment que les fuites du bac. C'est dire qu'aujourd'hui, c'est l'Ecole algérienne dans son sens large qui est dans l'oeil du cyclone. Toutes ces tentatives, et d'autres plus sournoises, qu'il serait long à énumérer ici, prouvent au moins deux choses. La première est que la rancune de nos ennemis est tenace. La seconde est que ces mêmes ennemis font feu de tout bois pour tenter de créer le chaos dans notre pays. Sauf que ce changement perpétuel de «cibles» prouve, par ailleurs, l'incapacité de ces milieux à comprendre la spécificité toute algérienne qui permet de contrer les complots. De cette spécificité qui a fait de nous le seul pays au monde à avoir mené une guerre de libération pour notre indépendance. De cette spécificité qui a fait de nous le premier peuple à avoir affronté et terrassé, seul, le terrorisme qui sévit aujourd'hui sur toute la planète. Autre fait unique au monde, c'est un moudjahid, le président Abdelaziz Bouteflika, qui, après avoir participé à la libération du pays, le dirige. L'engagement qui l'anime est le serment fait aux chouhada. Et grâce à son expertise et sa politique visionnaire, il a réussi à réconcilier les Algériens qui vivent en paix. Notre indépendance économique obtenue par le remboursement anticipé de notre dette extérieure et la création de réserves de changes, c'est encore lui. Grâce à quoi nous avons pu, autre spécificité, amortir le choc pétrolier. C'est aussi lui qui a développé la Défense nationale et fait de l'ANP une force régionale qui fait toute notre fierté. C'est enfin lui qui a renforcé cette spécificité toute algérienne qui a permis, en une décennie, à tous les Algériens de ne plus vivre dans la précarité. Il suffit de voir leur bonheur dans les nouveaux logements. C'est ce qui déroute nos ennemis. Ils ne savent plus par quel «bout» nous faire trébucher. Alors, ils cherchent en changeant de «partitions». A l'aveugle. Preuve qu'ils n'ont rien compris à la lucidité et à la résistance des Algériens!