Algérie

Une attente qui dure !



Une attente qui dure !
Un mois s'est écoulé depuis les résultats des élections législatives du 10 mai dernier et en dehors de l'installation de la nouvelle APN et de l'élection de son nouveau président en la personne de Larbi Ould Khelifa qui a pris à contre-pied tout le monde, il ne se passe rien dans les rouages de la sphère politique. On a eu droit à une petite agitation stérile de la part des partis islamistes qui relèvent beaucoup plus du vaudeville.
Les langues allaient bon train autour de la nomination d'un nouveau Premier ministre, sur le départ ou le maintien d'Ahmed Ouyahia ou encore cela donnait lieu à des spéculations savamment discutées dans les villas cossues du Club des Pins autour d'un pot
"la yadjouze".
Un autre évènement qu'il faut mettre à l'actif du président de la République : une instruction appliquée à la lettre, a été le fait du jour en ce qui concerne les démissions des ministres candidats à la députation.
Les ministres restés en poste se sont partagés la vacance. Puis c'est le black-out total. Le changement de gouvernement annoncé, puis reporté et de nouveau remis au goût du jour a fait chou blanc. Les ministres de la République qui ne sont pas sûrs d'être reconduits ont quelque peu levé le pied de l'accélérateur. Le seul à être sous les feux de la rampe, examens de fin d'année obligent, est l'inamovible ministre de l'Education, Boubekeur Benbouzid. Les autres départements ministériels sont en stand-by d'un hypothétique remaniement que d'aucuns appellent de leur v'ux. Les changements espérés ne sont toujours pas à l'ordre du jour et puis le scrutin du 10 mai n'a-t-il pas consacré une Assemblée «continuante» ' Alors statu quo, stand-by, apathie, sont les vocables attributs du mot gouvernement. Les congés seront la cerise sur le gâteau avec le Ramadhan qui trône au beau milieu de la période estivale et nul doute que le gouvernement sera «mis» en congé. De quoi faire durer... l'attente mais pas le plaisir.
Un mois s'est écoulé depuis les résultats des élections législatives du 10 mai dernier et en dehors de l'installation de la nouvelle APN et de l'élection de son nouveau président en la personne de Larbi Ould Khelifa qui a pris à contre-pied tout le monde, il ne se passe rien dans les rouages de la sphère politique. On a eu droit à une petite agitation stérile de la part des partis islamistes qui relèvent beaucoup plus du vaudeville.
Les langues allaient bon train autour de la nomination d'un nouveau Premier ministre, sur le départ ou le maintien d'Ahmed Ouyahia ou encore cela donnait lieu à des spéculations savamment discutées dans les villas cossues du Club des Pins autour d'un pot
"la yadjouze".
Un autre évènement qu'il faut mettre à l'actif du président de la République : une instruction appliquée à la lettre, a été le fait du jour en ce qui concerne les démissions des ministres candidats à la députation.
Les ministres restés en poste se sont partagés la vacance. Puis c'est le black-out total. Le changement de gouvernement annoncé, puis reporté et de nouveau remis au goût du jour a fait chou blanc. Les ministres de la République qui ne sont pas sûrs d'être reconduits ont quelque peu levé le pied de l'accélérateur. Le seul à être sous les feux de la rampe, examens de fin d'année obligent, est l'inamovible ministre de l'Education, Boubekeur Benbouzid. Les autres départements ministériels sont en stand-by d'un hypothétique remaniement que d'aucuns appellent de leur v'ux. Les changements espérés ne sont toujours pas à l'ordre du jour et puis le scrutin du 10 mai n'a-t-il pas consacré une Assemblée «continuante» ' Alors statu quo, stand-by, apathie, sont les vocables attributs du mot gouvernement. Les congés seront la cerise sur le gâteau avec le Ramadhan qui trône au beau milieu de la période estivale et nul doute que le gouvernement sera «mis» en congé. De quoi faire durer... l'attente mais pas le plaisir.




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