Dans son appel disponible sur www.blednet.com, elle affirme, à titred'exemple, que lors des visites à son enfant, elle n'a pas le droit delui parler en arabe du fait que les visites supervisées se font enprésence de personnes ne parlant pas cette langue.Amal B. affirme qu'elle est « victime de violence institutionnelle depuis4 ans ». La direction de la protection de la jeunesse de la provincecanadienne a même déposé une requête « demandant à la Cour supérieure delui interdire de déposer toute procédure de nature civile ou pénale, etlui refuser l'accès au système légal dans les tribunaux d'instance et degrande instance du Québec », soutient-elle. Affaire à suivre.
Posté Le : 28/06/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : S.B.
Source : www.elwatan.com