Un voyage dans le temps au pays des merveilles ' Tlemcen'

« Derrière chaque oeuvre, une histoire »



Le 08 mars 2016, Madame Soufi Hafida, artiste peintre, quarante ans d’expression artistique presque méconnue. expose ses tableaux pour la deuxième fois au palais de la culture à Tlemcen, qui a ouvert ses portes jusqu’au 13 mars.

Quand on regarde ses œuvres, on a l’impression de voyager dans le temps. Cette artiste a peint sa nostalgie de l’ancienne Tlemcen sur une vingtaine de toiles, avec des couleurs très rayonnantes et joyeuses. Elle a su dégager une lumière étonnement harmonieuse et joviale qui a fait vibrer les cœurs sensibles, ainsi qu’une recherche du ton réel, et du mouvement tracé par des ombres d’hommes qui dominaient les ruelles par leurs élégances arabo-musulmane.

L’une intitulé, les femmes pleureuses, représente des femmes assises, qui se plaignent et pleurnichent derrière la grande mosquée de Tlemcen, appelée les des sept arcades. Les femmes étaient présenté comme premier plan vêtues d’un Hayek. Le 2éme plan représente un homme arabe, tenant un bâton à la main,bien illuminé par des touches de lumières par ci par là, portant une Chachia. Son arrivé au près de ces femmes pleureuses était inquiétante, car il est venu chercher son épouses, oui – mais comment la trouver au milieu de toute ses femmes habillées de la même façon ?

Cette expression était vraiment belle, elle y était, et elle demeurera toujours belle au cœur de cette artiste.la majorité des participants ignorait qu'il existait de telle endroit à Tlemcen, moi même je l'ignorait. Cette exposition a été enrichissante, elle prouve que cette artiste bat pour que cette jeune génération puisse connaître la culture et l’histoire de Tlemcen.

La peinture reste un moyen très moderne et très attirant qui lutte contre le laisser-aller et l'oisiveté des jeunes, l’art nous fait voyager, et nous fait découvrir un monde mystérieusement captivant, il nous détache de ce monde réel, afin de nous transformer , il a une part importante dans la vie, c’est ainsi qu’on s’est retrouvé dans un monde merveilleux qui est « Tlemcen »