Algérie

Un voyage dans le temps !



Un voyage dans le temps !
C'est un voyage nostalgique dans la Kabylie du XIXe siècle qui a débuté, mercredi, en compagnie du cartophile et collectionneur de photographies, Rahim Bellamdani, à l'occasion d'une exposition photos, organisée à la maison de la culture de Tizi-Ouzou.C'est un voyage nostalgique dans la Kabylie du XIXe siècle qui a débuté, mercredi, en compagnie du cartophile et collectionneur de photographies, Rahim Bellamdani, à l'occasion d'une exposition photos, organisée à la maison de la culture de Tizi-Ouzou.Des photographies représentant des scènes de vie en Kabylie, tels que les fêtes de mariage, la trituration traditionnelle des olives, jours de marché, le puisage d'eau, les jeux des enfants, la cuisson de poterie, les paysages, les villages et les maisons en pierres sèches, à l'architecture ancienne, ont replongé les visiteurs dans une douce nostalgie, du temps où la vie était, certes dure mais moins stressante. Les plus jeunes découvraient avec curiosité le mode de vie de leurs aïeux mais aussi les tenues vestimentaires anciennes, notamment la robe kabyle portée par les femmes et qui était jusqu'au 19ème siècle, composée d'une grande pièce de laine, non cousue, et attachée aux épaules par des fibules.Passionné par l'Histoire de Tizi-Ouzou, région où il a grandi, ce jeune homme de 34 ans, natif d'Alger, a développé un goût particulier pour la photo ancienne dès sa tendre enfance, lorsqu'il se rendait dans le café maure de son grand père, situé à la grandrue de Tizi Ouzou, pour contempler les vielles photographies et cartes postales accrochées aux murs de l'établissement, se confie-t-il à l'APS. Le déclic se produira quelques années plus tard, vers l'âge de 21 ans, lorsque Rahim décide de prendre son bâton de pèlerin pour aller à la collecte de clichés anciens, dans une quête continuelle de la photo rare.En 10 années il a pu réunir une collection riche de pas moins de 18.887 clichés, dont des cartes postales semi-modernes (CPSM) des années 1960 et 1970. La plus rare pièce de sa collection est un croquis du procès de Arezki Lbachir, un résistant qui s'était révoltée contre le colonialisme et ses collaborateurs dans la région d'Azazga (Ath Ghobri) et où il a été guillotiné le 14 mai 1895.Quant à la photo la plus ancienne, elle date de 1863, il s'agit d'une représentation de l'actuelle ville de Larbaâ N'Ath Irathen (ex-Fort national), avant la construction de la caserne, et représentant une maison coloniale et une ferme, a indiqué M. Bellamdani. Après cette exposition qui se poursuivra jusqu'à 13 de ce mois, Rahim Bellamdani en organisera d'autres à Azazga sur, notamment Arezki Lbachir, à Larbaâ N'Ath Irathen et à Aïn El-Hammam.Des photographies représentant des scènes de vie en Kabylie, tels que les fêtes de mariage, la trituration traditionnelle des olives, jours de marché, le puisage d'eau, les jeux des enfants, la cuisson de poterie, les paysages, les villages et les maisons en pierres sèches, à l'architecture ancienne, ont replongé les visiteurs dans une douce nostalgie, du temps où la vie était, certes dure mais moins stressante. Les plus jeunes découvraient avec curiosité le mode de vie de leurs aïeux mais aussi les tenues vestimentaires anciennes, notamment la robe kabyle portée par les femmes et qui était jusqu'au 19ème siècle, composée d'une grande pièce de laine, non cousue, et attachée aux épaules par des fibules.Passionné par l'Histoire de Tizi-Ouzou, région où il a grandi, ce jeune homme de 34 ans, natif d'Alger, a développé un goût particulier pour la photo ancienne dès sa tendre enfance, lorsqu'il se rendait dans le café maure de son grand père, situé à la grandrue de Tizi Ouzou, pour contempler les vielles photographies et cartes postales accrochées aux murs de l'établissement, se confie-t-il à l'APS. Le déclic se produira quelques années plus tard, vers l'âge de 21 ans, lorsque Rahim décide de prendre son bâton de pèlerin pour aller à la collecte de clichés anciens, dans une quête continuelle de la photo rare.En 10 années il a pu réunir une collection riche de pas moins de 18.887 clichés, dont des cartes postales semi-modernes (CPSM) des années 1960 et 1970. La plus rare pièce de sa collection est un croquis du procès de Arezki Lbachir, un résistant qui s'était révoltée contre le colonialisme et ses collaborateurs dans la région d'Azazga (Ath Ghobri) et où il a été guillotiné le 14 mai 1895.Quant à la photo la plus ancienne, elle date de 1863, il s'agit d'une représentation de l'actuelle ville de Larbaâ N'Ath Irathen (ex-Fort national), avant la construction de la caserne, et représentant une maison coloniale et une ferme, a indiqué M. Bellamdani. Après cette exposition qui se poursuivra jusqu'à 13 de ce mois, Rahim Bellamdani en organisera d'autres à Azazga sur, notamment Arezki Lbachir, à Larbaâ N'Ath Irathen et à Aïn El-Hammam.




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