Algérie

Un travail titanesque en perspective



Le Parlement n'aura pas la tâche facile. Les projets de loi qui n'ont pas été inscrits durant l'ancienne législature seront fatalement reconduits dans le débat. C'est dire que les attentes sont nombreuses et les défis s'annoncent durs.Le Parlement n'aura pas la tâche facile. Les projets de loi qui n'ont pas été inscrits durant l'ancienne législature seront fatalement reconduits dans le débat. C'est dire que les attentes sont nombreuses et les défis s'annoncent durs.
Avec une majorité FLN et RND et l'arrivéE du MSP et des indépendants comme nouvelles forces politiques, le futur Parlement ne sera pas une sinécure pour les uns et les autres. Chaque camp tentera, en fonction des jeux d'alliances et des approches doctrinaires, de mettre au point les projets de loi à débattre dans une conjoncture particulière. Les projets en attente et qui n'ont pas été inscrits à l'ordre du jour durant l'ancien mandat seront forcément exhumés.
On parle dès lors du projet de loi criminalisant le colonialisme, la relance économique avec l'axe de diversification, la gestion de la crise de la pandémie virale, la lutte contre la corruption endémique, le chômage, le désarroi des jeunes et la question récurrente du mouvement populaire du Hirak et sa place sur l'échiquier politique. Autant de questions et de défis qui annoncent une rud épreuve pour les futurs élus. Pour les partis majoritaires, qui reviennent en force, à savoir le FLN et le RND, la question de l'alliance ne semble pas poser de problmes rappelant que ces deux partis ont déjà par le passé, scellé leur pacte d'union. Mais cette fois, il semble qu'en face, il y a le tonitruant MSP qui se présente comme une formation qu'il sera très difficile de s'en passer. Il est vrai que certains dossiers surtout ceux relatifs à la mémoire, rapprochent le camp nationaliste et les islamistes. Mais leur traitement ne sera pas de la même façon où chaque formation politiqu tentera de se placer en gagnant pour remporter la manche et défendre ses positions. Les dossiers relatifs à la corruption et aux scandales ayant éclaté ces deux dernières années qui continuent leurs révélations sur les anciennes personnalités politiques sont également vus comme l'élément qui va secouer l'agitation politique sur ce propos.
Le FLN et le RND qui ont participé à l'ancienne gestion du pays promettent de revoir leur personnel en investissant sur de nouvelles têtes avec des élus "jeunes et compétents." Ces deux formations = politiques qui ont l'expérience des manoeuvres politiques et le calcul politicien selon les conjonctures ont en face les indépendants qui ont surgi comme une alternative nouvelle. Ces indépendants auront-ils les coudées franches pour constitue un bloc solide ' Un jeu d'alliance serat- il permis avec les partis majoritaires ' En tous cas et selon les supputations, rien n'est exclu dès la prochaine investiture. En cas de la nomination d'un Premier ministre par le chef de l'Etat, l'idée d'une cohésion autour du programme présidentiel n'est pas à écarter. Il faudra attendre le début du mois prochain pour trancher
Avec une majorité FLN et RND et l'arrivéE du MSP et des indépendants comme nouvelles forces politiques, le futur Parlement ne sera pas une sinécure pour les uns et les autres. Chaque camp tentera, en fonction des jeux d'alliances et des approches doctrinaires, de mettre au point les projets de loi à débattre dans une conjoncture particulière. Les projets en attente et qui n'ont pas été inscrits à l'ordre du jour durant l'ancien mandat seront forcément exhumés.
On parle dès lors du projet de loi criminalisant le colonialisme, la relance économique avec l'axe de diversification, la gestion de la crise de la pandémie virale, la lutte contre la corruption endémique, le chômage, le désarroi des jeunes et la question récurrente du mouvement populaire du Hirak et sa place sur l'échiquier politique. Autant de questions et de défis qui annoncent une rud épreuve pour les futurs élus. Pour les partis majoritaires, qui reviennent en force, à savoir le FLN et le RND, la question de l'alliance ne semble pas poser de problmes rappelant que ces deux partis ont déjà par le passé, scellé leur pacte d'union. Mais cette fois, il semble qu'en face, il y a le tonitruant MSP qui se présente comme une formation qu'il sera très difficile de s'en passer. Il est vrai que certains dossiers surtout ceux relatifs à la mémoire, rapprochent le camp nationaliste et les islamistes. Mais leur traitement ne sera pas de la même façon où chaque formation politiqu tentera de se placer en gagnant pour remporter la manche et défendre ses positions. Les dossiers relatifs à la corruption et aux scandales ayant éclaté ces deux dernières années qui continuent leurs révélations sur les anciennes personnalités politiques sont également vus comme l'élément qui va secouer l'agitation politique sur ce propos.
Le FLN et le RND qui ont participé à l'ancienne gestion du pays promettent de revoir leur personnel en investissant sur de nouvelles têtes avec des élus "jeunes et compétents." Ces deux formations = politiques qui ont l'expérience des manoeuvres politiques et le calcul politicien selon les conjonctures ont en face les indépendants qui ont surgi comme une alternative nouvelle. Ces indépendants auront-ils les coudées franches pour constitue un bloc solide ' Un jeu d'alliance serat- il permis avec les partis majoritaires ' En tous cas et selon les supputations, rien n'est exclu dès la prochaine investiture. En cas de la nomination d'un Premier ministre par le chef de l'Etat, l'idée d'une cohésion autour du programme présidentiel n'est pas à écarter. Il faudra attendre le début du mois prochain pour trancher


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