Algérie

Un rendez-vous incontournable 46e édition due Festival national de théâtre amateur de Mostaganem



Un rendez-vous incontournable 46e édition due Festival national de théâtre amateur de Mostaganem
C'est parti pour une semaine! Le Festival national du théâtre amateur dans sa 46e édition s'est ouvert à Mostaganem avant-hier soir. Le rendez-vous a drainé une marée humaine qui a envahi le centre de loisirs Mohamed- Morsli, qui a été aménagé pour la circonstance, où un gigantesque chapiteau est installé pour la circonstance, et ce, vu, la situation qui perdure sur le plan infrastructures.C'est parti pour une semaine! Le Festival national du théâtre amateur dans sa 46e édition s'est ouvert à Mostaganem avant-hier soir. Le rendez-vous a drainé une marée humaine qui a envahi le centre de loisirs Mohamed- Morsli, qui a été aménagé pour la circonstance, où un gigantesque chapiteau est installé pour la circonstance, et ce, vu, la situation qui perdure sur le plan infrastructures.
Entre autres, le théâtre régional de Mostaganem tarde à voir le jour, et la salle bleue de la maison de la culture Abderrahmne-Kaki, est en plein travaux. Le coup d'envoi de cette édition, a été marqué par l'absence d'un ou des représentants de la tutelle, mais la mission est revenue à l' un des membres fondateurs du festival en 1967, Bensaïd Mekki, dit El Hadj Mekki, désigné président d'honneur de la 46e édition lors d'une cérémonie d'ouverture animée par la fanfare de la Protection civile et la troupe de la coopérative du théâtre de Laghouat, en présence du commissaire du festival, Rachid Djerrourou, des autorités locales et d'un public nombreux.
Fidele aux pratiques conformistes, des officiels ont passé en revue tous les stands, pour s'acquérir des travaux artisanaux exposés, et de leurs cotés, ils ont encouragés tous ces jeunes talents passionnés et ambitieux à poursuivre cette noble mission pour la sauvegarde de notre patrimoine qui est une partie de notre histoire et identité.
Après cette virée accompagnée par une exhibition de troupes, le moment est venu pour lever le rideau avec prestation intitulée Sariî el djanoub, composé par Haroun El Kilani, qui mêle théâtre, danses folkloriques et chorégraphie hip hop pour mettre en scène l'histoire de jeunes Algériens du Sud en partance pour le nord du pays et qui déclament des poèmes patriotiques durant leur périple.
Devant une salle archicomble, la directrice de la culture, Halima Henkour, a affirmé que "Nous réaffirmons notre volonté de soutenir toutes les énergies qui présentent des initiatives 'uvrant à la promotion du théâtre en particulier et de l'activité culturelle en général" dans une brève allocution, mettant en exergue l'importance du théâtre dans la société. De son côté, le commissaire du Festival, après le souhait de bienvenue à ses invités, Rachid Djerrourou, a souligné à l'occasion avoir le désir d'associer les jeunes.
"Il y a en effet, le souci d'apprendre ensemble, de partager tous les savoirs, et c'est important que le savoir soit incontournable dans ce genre d'espace", affirme-t-il, et d'ajouter : "Au-delà du plaisir de partager, il y a le plaisir d'apprendre ; nous voulons que la pédagogie et le savoir s'installent avec les compétences qu'il faut.
On n'a pas de complexe, on veut apprendre avec l'autre". La soirée d'inauguration a été marquée aussi, par un hommage rendu à l'un des membres fondateurs de l'ancien festival en Algérie en l'occurrence, Hadj El Mekki.
Prévu jusqu'au 31 août, le 46e FNTA mettra aux prises douze troupes venues de huit régions différentes. Parmi les nouveautés de cette édition, la programmation en off d'une troupe koweïtienne et de quatre jeunes formations du Sud algérien pour des représentations dans les localités de Mostaganem.
En parallèle, les organisateurs ont prévu trois conférences sur le théâtre de la halka et sur les travaux menés par Alloula et Kaki, entre autres dramaturges et metteurs en scène, sur ce patrimoine oral. En 46 ans d'existence, le Fnta est devenu un "passage obligé", non seulement pour les comédiens amateurs, mais aussi pour des artistes confirmés, soutient Omar Fetmouche.
Fondé en 1967 sur le modèle du Festival d'Avignon (France) par Si El-Djilali Benabdelhalim, autre grande figure du théâtre à Mostaganem, autour de troupes de théâtre issues des Scouts musulmans, le FNTA est le premier festival culturel de l'Algérie indépendante. Les choses sérieuses pour les participants en "In" en particulier, ont commencé donc, alors bon théâtre !
Entre autres, le théâtre régional de Mostaganem tarde à voir le jour, et la salle bleue de la maison de la culture Abderrahmne-Kaki, est en plein travaux. Le coup d'envoi de cette édition, a été marqué par l'absence d'un ou des représentants de la tutelle, mais la mission est revenue à l' un des membres fondateurs du festival en 1967, Bensaïd Mekki, dit El Hadj Mekki, désigné président d'honneur de la 46e édition lors d'une cérémonie d'ouverture animée par la fanfare de la Protection civile et la troupe de la coopérative du théâtre de Laghouat, en présence du commissaire du festival, Rachid Djerrourou, des autorités locales et d'un public nombreux.
Fidele aux pratiques conformistes, des officiels ont passé en revue tous les stands, pour s'acquérir des travaux artisanaux exposés, et de leurs cotés, ils ont encouragés tous ces jeunes talents passionnés et ambitieux à poursuivre cette noble mission pour la sauvegarde de notre patrimoine qui est une partie de notre histoire et identité.
Après cette virée accompagnée par une exhibition de troupes, le moment est venu pour lever le rideau avec prestation intitulée Sariî el djanoub, composé par Haroun El Kilani, qui mêle théâtre, danses folkloriques et chorégraphie hip hop pour mettre en scène l'histoire de jeunes Algériens du Sud en partance pour le nord du pays et qui déclament des poèmes patriotiques durant leur périple.
Devant une salle archicomble, la directrice de la culture, Halima Henkour, a affirmé que "Nous réaffirmons notre volonté de soutenir toutes les énergies qui présentent des initiatives 'uvrant à la promotion du théâtre en particulier et de l'activité culturelle en général" dans une brève allocution, mettant en exergue l'importance du théâtre dans la société. De son côté, le commissaire du Festival, après le souhait de bienvenue à ses invités, Rachid Djerrourou, a souligné à l'occasion avoir le désir d'associer les jeunes.
"Il y a en effet, le souci d'apprendre ensemble, de partager tous les savoirs, et c'est important que le savoir soit incontournable dans ce genre d'espace", affirme-t-il, et d'ajouter : "Au-delà du plaisir de partager, il y a le plaisir d'apprendre ; nous voulons que la pédagogie et le savoir s'installent avec les compétences qu'il faut.
On n'a pas de complexe, on veut apprendre avec l'autre". La soirée d'inauguration a été marquée aussi, par un hommage rendu à l'un des membres fondateurs de l'ancien festival en Algérie en l'occurrence, Hadj El Mekki.
Prévu jusqu'au 31 août, le 46e FNTA mettra aux prises douze troupes venues de huit régions différentes. Parmi les nouveautés de cette édition, la programmation en off d'une troupe koweïtienne et de quatre jeunes formations du Sud algérien pour des représentations dans les localités de Mostaganem.
En parallèle, les organisateurs ont prévu trois conférences sur le théâtre de la halka et sur les travaux menés par Alloula et Kaki, entre autres dramaturges et metteurs en scène, sur ce patrimoine oral. En 46 ans d'existence, le Fnta est devenu un "passage obligé", non seulement pour les comédiens amateurs, mais aussi pour des artistes confirmés, soutient Omar Fetmouche.
Fondé en 1967 sur le modèle du Festival d'Avignon (France) par Si El-Djilali Benabdelhalim, autre grande figure du théâtre à Mostaganem, autour de troupes de théâtre issues des Scouts musulmans, le FNTA est le premier festival culturel de l'Algérie indépendante. Les choses sérieuses pour les participants en "In" en particulier, ont commencé donc, alors bon théâtre !


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