Algérie

Un rassemblement à Paris dénonce les crimes d'Etat de la France



Un rassemblement à Paris dénonce les crimes d'Etat de la France
Plus de deux cents personnes ont dénoncé, mardi en fin d'après-midi dans un rassemblement à Paris, les crimes d'Etat commis par la France, exigeant une reconnaissance de sa responsabilité dans les massacres, et l'internement arbitraire d'Algériens durant la Guerre de libération.Plus de deux cents personnes ont dénoncé, mardi en fin d'après-midi dans un rassemblement à Paris, les crimes d'Etat commis par la France, exigeant une reconnaissance de sa responsabilité dans les massacres, et l'internement arbitraire d'Algériens durant la Guerre de libération.
Réunis à l'occasion de la commémoration des massacres du 17 octobre 1961, sur le pont Saint-Michel, où des dizaines d'Algériens ont été jetés dans la Seine par la police française, les manifestants, universitaires, historiens, militants des droits de l'Homme, membres associatifs, syndicalistes, élus locaux et des membres de lacommunauté algérienne ont réclamé"vérité et justice sur les tueries d'Algériens venus exprimer pacifiquement leur refus au couvre-feu qui leur étaitimposé".
Les intervenants lors de ce rassemblement ont rappelé que les manifestantsalgériens défendaient leur droit à l'égalité, leur droit à l'indépendance et le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes.A cet effet, ils ont demandé d'ériger une nouvelle stèle visible à "la mémoire desvictimes de l'irréparable".
Le politologue Olivier Le CourGrandmaison a insisté sur le fait que "les dispositions juridiques appliquées contre les Algériens durant la colonisation était d'essence raciste et le sont même envigueur actuellement dans le cadre de l'étatd'urgence où seul les Maghrébins etAfricains sont concernés, selon le faciès".Il a rappelé que le président EmmanuelMacron a été destinataire de deux correspondancesdans lesquelles i lui estdemandé de reconnaître la responsabilitéde l'Etat sur les crimes coloniaux et demasse.
Réunis à l'occasion de la commémoration des massacres du 17 octobre 1961, sur le pont Saint-Michel, où des dizaines d'Algériens ont été jetés dans la Seine par la police française, les manifestants, universitaires, historiens, militants des droits de l'Homme, membres associatifs, syndicalistes, élus locaux et des membres de lacommunauté algérienne ont réclamé"vérité et justice sur les tueries d'Algériens venus exprimer pacifiquement leur refus au couvre-feu qui leur étaitimposé".
Les intervenants lors de ce rassemblement ont rappelé que les manifestantsalgériens défendaient leur droit à l'égalité, leur droit à l'indépendance et le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes.A cet effet, ils ont demandé d'ériger une nouvelle stèle visible à "la mémoire desvictimes de l'irréparable".
Le politologue Olivier Le CourGrandmaison a insisté sur le fait que "les dispositions juridiques appliquées contre les Algériens durant la colonisation était d'essence raciste et le sont même envigueur actuellement dans le cadre de l'étatd'urgence où seul les Maghrébins etAfricains sont concernés, selon le faciès".Il a rappelé que le président EmmanuelMacron a été destinataire de deux correspondancesdans lesquelles i lui estdemandé de reconnaître la responsabilitéde l'Etat sur les crimes coloniaux et demasse.


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