Un policier tire sur les agresseurs Pour défendre Son frère attaqué par un groupe armé à boufarik

Le quartier des 1.000 logements situé dans la commune de Boufarik a été le théâtre, durant la soirée d'avant-hier, d'une véritable scène de guerre ayant opposé deux gangs armés de couteaux de boucher et de sabres, au cours de laquelle un jeune de 22 ans a été sérieusement atteint au niveau de l'abdomen. Cet incident a poussé son frère, un policier, à se mêler dans cette rixe et à utiliser son arme de service.
Le quartier des 1.000 logements situé dans la commune de Boufarik a été le théâtre, durant la soirée d'avant-hier, d'une véritable scène de guerre ayant opposé deux gangs armés de couteaux de boucher et de sabres, au cours de laquelle un jeune de 22 ans a été sérieusement atteint au niveau de l'abdomen. Cet incident a poussé son frère, un policier, à se mêler dans cette rixe et à utiliser son arme de service.
En effet, le quartier des 1.000 Logements, situé en face du stade communal de Boufarik a connu, avant-hier, une soirée cauchemardesque. Des jeunes, au nombre indéterminé, se sont livrés à des rixes à l'aide d'armes blanches et fusils harpons, durant lesquelles un jeune policier résidant dans le même quartier a utilisé son arme de service pour tirer à bout portant sur des gangsters. Ces derniers ont poignardé son frère âgé de 22 ans avant de s'en prendre à ses acolytes qui étaient, eux aussi, armés de couteaux. La bataille rangée a commencé vers 18h, et c'est à ce moment que le policier est intervenu, lorsqu'il a appris que son frère avait été atteint par arme blanche, en utilisant son arme à feu et tirer sur tout ce qui bouge. Fort heureusement, les balles tirées par le policier qui, faut-il le préciser au passage n'était pas en service ce jour-là et en tenue civile, n'ont pas atteint ses cibles. Toutefois, en tirant des balles réelles sur les gangsters une grosse panique a gagné l'ensemble du quartier des 1.000 Logements. Certains habitants ont cru qu'il s'agissait d'un terroriste armé qui tirait des balles avec son arme à feu, alors que d'autres couraient dans plusieurs sens, fuyant les balles pouvant les atteindre. Suite à cette réaction « inattendue » du policier (qui n'arrivait pas à contrôler ses nerfs en apprenant que son frère a été poignardé), les agresseurs de son frère ont déposé une plainte au commissariat de la sûreté de Boufarik contre lui (qui n'est autre que leur voisin). Une plainte qui sera sûrement suivie de sanctions contre le policier. Par ailleurs, il convient de rappeler que la commune de Boufarik est de plus en plus touchée par le phénomène des rixes entre des gangs. Il ne se passe pas un jour sans qu'une rixe aux armes blanches soit signalée dans un quartier de Boufarik. Pis, des jeunes personnes, résidant dans les quartiers de Dallas, Cnep, Haouche Gros et bien d'autres, se livrent, presque chaque jour, à des batailles rangées. En plus des armes blanches de différentes tailles, les gangsters possèdent une nouvelle arme, les bâtons électriques.
Ces bâtons électriques sont identiques aux Tazers (une arme utilisée par les policiers pour immobiliser les agresseurs ou criminels). Le but des gangsters est d'utiliser ces bâtons électriques pour immobiliser leurs victimes lors d'une attaque contre les automobilistes ou les piétons, ce qui leur facilite la tâches qui consiste à voler des bijoux, de l'argent et des véhicules.
Conscients de ce danger, les policiers tout comme les gendarmes procèdent, souvent, à des opérations coup-de-poing, afin d'arrêter les gangsters et d'éviter des délits et crimes potentiels qui ciblent les citoyens et leurs biens. Faut-il le rappeler, en 2012, les services de sécurité ont saisi, lors de différentes opérations menées contre les gangs, plus de 1000 armes blanches et autant de fusils harpons et bâtons électriques, cela sans oublier les quantités de drogue et boissons alcoolisées très consommées par les gangsters. Aussi, plus de 500 gangsters ont été interpellés en 2012 dans différents quartiers des villes du centre du pays.
En effet, le quartier des 1.000 Logements, situé en face du stade communal de Boufarik a connu, avant-hier, une soirée cauchemardesque. Des jeunes, au nombre indéterminé, se sont livrés à des rixes à l'aide d'armes blanches et fusils harpons, durant lesquelles un jeune policier résidant dans le même quartier a utilisé son arme de service pour tirer à bout portant sur des gangsters. Ces derniers ont poignardé son frère âgé de 22 ans avant de s'en prendre à ses acolytes qui étaient, eux aussi, armés de couteaux. La bataille rangée a commencé vers 18h, et c'est à ce moment que le policier est intervenu, lorsqu'il a appris que son frère avait été atteint par arme blanche, en utilisant son arme à feu et tirer sur tout ce qui bouge. Fort heureusement, les balles tirées par le policier qui, faut-il le préciser au passage n'était pas en service ce jour-là et en tenue civile, n'ont pas atteint ses cibles. Toutefois, en tirant des balles réelles sur les gangsters une grosse panique a gagné l'ensemble du quartier des 1.000 Logements. Certains habitants ont cru qu'il s'agissait d'un terroriste armé qui tirait des balles avec son arme à feu, alors que d'autres couraient dans plusieurs sens, fuyant les balles pouvant les atteindre. Suite à cette réaction « inattendue » du policier (qui n'arrivait pas à contrôler ses nerfs en apprenant que son frère a été poignardé), les agresseurs de son frère ont déposé une plainte au commissariat de la sûreté de Boufarik contre lui (qui n'est autre que leur voisin). Une plainte qui sera sûrement suivie de sanctions contre le policier. Par ailleurs, il convient de rappeler que la commune de Boufarik est de plus en plus touchée par le phénomène des rixes entre des gangs. Il ne se passe pas un jour sans qu'une rixe aux armes blanches soit signalée dans un quartier de Boufarik. Pis, des jeunes personnes, résidant dans les quartiers de Dallas, Cnep, Haouche Gros et bien d'autres, se livrent, presque chaque jour, à des batailles rangées. En plus des armes blanches de différentes tailles, les gangsters possèdent une nouvelle arme, les bâtons électriques.
Ces bâtons électriques sont identiques aux Tazers (une arme utilisée par les policiers pour immobiliser les agresseurs ou criminels). Le but des gangsters est d'utiliser ces bâtons électriques pour immobiliser leurs victimes lors d'une attaque contre les automobilistes ou les piétons, ce qui leur facilite la tâches qui consiste à voler des bijoux, de l'argent et des véhicules.
Conscients de ce danger, les policiers tout comme les gendarmes procèdent, souvent, à des opérations coup-de-poing, afin d'arrêter les gangsters et d'éviter des délits et crimes potentiels qui ciblent les citoyens et leurs biens. Faut-il le rappeler, en 2012, les services de sécurité ont saisi, lors de différentes opérations menées contre les gangs, plus de 1000 armes blanches et autant de fusils harpons et bâtons électriques, cela sans oublier les quantités de drogue et boissons alcoolisées très consommées par les gangsters. Aussi, plus de 500 gangsters ont été interpellés en 2012 dans différents quartiers des villes du centre du pays.