Algérie

Un plan pour sauver la capitale Les autorités veulent en finir avec l'insalubrité et la médiocrité



Un plan pour sauver la capitale Les autorités veulent en finir avec l'insalubrité et la médiocrité
Le schéma directeur de l'aménagement du territoire propre à la capitale a été complètement rénové. Depuis avril dernier, la wilaya d'Alger met le paquet pour mettre fin à l'anarchie dans les constructions, réhabiliter le vieux bâti et régler le problème des commerces fermés depuis des lustres.Le schéma directeur de l'aménagement du territoire propre à la capitale a été complètement rénové. Depuis avril dernier, la wilaya d'Alger met le paquet pour mettre fin à l'anarchie dans les constructions, réhabiliter le vieux bâti et régler le problème des commerces fermés depuis des lustres.
En effet, la surface urbanisable d'Alger qui s'étend sur plus de 24.500 hectares observe selon un rapport de la DUC (Direction de l'urbanisme et de la construction), une anarchie dans la construction qui touche près de 17.000 ha où poussent des îlots mal lotis, des constructions individuelles sans permis de construire et des réseaux de voieries complètement défectueux.
On peut ajouter à cette liste sombre, des routes mal revêtues et des trottoirs surélevés et l'émergence de fléaux tels l'insécurité dans certains quartiers et l'absence de commodités dans les nouvelles cités érigées ces dernières années. Mais pour circonscrire ces phénomènes qui influent négativement sur l'aura de la capitale, les autorités ont décidé de mettre en œuvre un « plan » pour sauver Alger.
On apprend selon une source bien informée que les 29 communes d'Alger vont devoir interdire toute construction sans permis et sans un quitus du cadastre qui autoriserait la construction. On évoquait sous peu que des dizaines de construction dont les propriétaires ne disposaient de ces documents ont été purement démolies sur instruction de la wilaya d'Alger.
Les différentes inspections de la première autorité de la ville ont permis de relever que les nouvelles cités ne disposent pas des commodités urbanistiques. Particulièrement les cités d'AADL de Ouled Fayet, de Seballa et Draria où les parkings pour véhicules aménagés pour les locataires sont envahis par des indus-occupants d'autant que les places réservées au stationnement sont étroites et créent des embouteillages chaque matin.
Quelques années après leur construction, ces nouvelles habitations sont devenus « une catastrophe urbaine » du fait que les problèmes récurrents font d'elles des « cités dortoirs ». La dernière inspection du wali d'Alger a mis en relief l'absence d'éclairage public de nuit, des décharges anarchiques qui grossissent de jour en jour et l'absence de marché de proximité, de transports publics et d'infrastructures pédagogiques.
Aux dernières recommandations de Premier ministre, les présidents d'APC sont tenus d'abord de trouver avant la fin de l'année, des espaces verts et un jardin public pour toute nouvelle construction collective. Les charges locatives doivent être assurées par les locataires aux OPGI avec l'obligation de signer des « contrats de maintenance » pour entretenir correctement les nouveaux immeubles.
On parle même de réhabiliter le syndic, projet qui actuellement en cours. Sur le plan urbanistique, une obligation ferme a été rendue publique pour certaines communes dont notamment Alger-Centre, El Biar, Bouzaréah, Bab El Oued, Bologhine qui prévoit de réhabiliter tous les commerces selon des normes standards. Cette opération qui a obtenu un grand succès à Alger-centre, peine dans d'autres communes. Selon des sources, ces communes attendent la fin du recensement des commerces pour entamer l'opération similaire à celle d'Alger-Centre.
En effet, la surface urbanisable d'Alger qui s'étend sur plus de 24.500 hectares observe selon un rapport de la DUC (Direction de l'urbanisme et de la construction), une anarchie dans la construction qui touche près de 17.000 ha où poussent des îlots mal lotis, des constructions individuelles sans permis de construire et des réseaux de voieries complètement défectueux.
On peut ajouter à cette liste sombre, des routes mal revêtues et des trottoirs surélevés et l'émergence de fléaux tels l'insécurité dans certains quartiers et l'absence de commodités dans les nouvelles cités érigées ces dernières années. Mais pour circonscrire ces phénomènes qui influent négativement sur l'aura de la capitale, les autorités ont décidé de mettre en œuvre un « plan » pour sauver Alger.
On apprend selon une source bien informée que les 29 communes d'Alger vont devoir interdire toute construction sans permis et sans un quitus du cadastre qui autoriserait la construction. On évoquait sous peu que des dizaines de construction dont les propriétaires ne disposaient de ces documents ont été purement démolies sur instruction de la wilaya d'Alger.
Les différentes inspections de la première autorité de la ville ont permis de relever que les nouvelles cités ne disposent pas des commodités urbanistiques. Particulièrement les cités d'AADL de Ouled Fayet, de Seballa et Draria où les parkings pour véhicules aménagés pour les locataires sont envahis par des indus-occupants d'autant que les places réservées au stationnement sont étroites et créent des embouteillages chaque matin.
Quelques années après leur construction, ces nouvelles habitations sont devenus « une catastrophe urbaine » du fait que les problèmes récurrents font d'elles des « cités dortoirs ». La dernière inspection du wali d'Alger a mis en relief l'absence d'éclairage public de nuit, des décharges anarchiques qui grossissent de jour en jour et l'absence de marché de proximité, de transports publics et d'infrastructures pédagogiques.
Aux dernières recommandations de Premier ministre, les présidents d'APC sont tenus d'abord de trouver avant la fin de l'année, des espaces verts et un jardin public pour toute nouvelle construction collective. Les charges locatives doivent être assurées par les locataires aux OPGI avec l'obligation de signer des « contrats de maintenance » pour entretenir correctement les nouveaux immeubles.
On parle même de réhabiliter le syndic, projet qui actuellement en cours. Sur le plan urbanistique, une obligation ferme a été rendue publique pour certaines communes dont notamment Alger-Centre, El Biar, Bouzaréah, Bab El Oued, Bologhine qui prévoit de réhabiliter tous les commerces selon des normes standards. Cette opération qui a obtenu un grand succès à Alger-centre, peine dans d'autres communes. Selon des sources, ces communes attendent la fin du recensement des commerces pour entamer l'opération similaire à celle d'Alger-Centre.


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