Un plan pour les réformer dans 6 mois Les hôpitaux seront totalement rénovés

Les hôpitaux algériens seront entièrement rénovés. C'est l'axe majeur de la réforme de la santé qui sera mis en branle à partir du mois d'octobre. Selon une source du ministère de la Santé, le plan de réforme concerne au début 31 CHU et d'autres centres de santé et des polycliniques à travers le pays.Les hôpitaux algériens seront entièrement rénovés. C'est l'axe majeur de la réforme de la santé qui sera mis en branle à partir du mois d'octobre. Selon une source du ministère de la Santé, le plan de réforme concerne au début 31 CHU et d'autres centres de santé et des polycliniques à travers le pays.
Ce plan comprend des aspects techniques de rénovation du bâti conformément aux standards internationaux. Tous les CHU seront dotés d'unités de soins spécialisées pour les urgences.
Les services de chirurgie générale, cardiologie et neurologie seront pourvus d'annexes de soins entièrement équipées où, dit-on, du matériel de chirurgie et d'examens par radiologie sera importé de grands fournisseurs européens.
Ces unités de soins, ajoute cette source, seront disponibles dès le début de l'année 2014 dans les villes à grande affluence pour lesquelles une enveloppe de 10 milliards de DA sera affectée pour faire fonctionner ces structures. Le programme quinquennal 2014-2019 va consacrer près de 3% du budget de l'Etat à la santé publique affirme une source du Premier ministère.
Ce qui est vu comme un bond par rapport aux budgets dérisoires qui ont été consacrés à un secteur aussi vital que celui de la santé. Dans ce collimateur, l'Etat compte mettre de l'argent pour sauver au moins les hôpitaux de leur situation où ces derniers temps des rapports accablants ont mis le doigt sur la mauvaise gestion et l'incompétence qui règnent au sein des grands centres de santé. Ainsi, un budget spécial sera dégagé pour la lutte contre les infections nosocomiales qui menacent les malades et le personnel médical des hôpitaux.
Des incinérateurs de déchets médicaux seront créés dans 4 régions qui sont Alger, Oran, Bejaia et Annaba. Pour les pathologies lourdes, le plan prévoit de renforcer les équipes médicales et paramédicales en déployant des médecins généralistes pour des cours spéciaux autour du cancer, diabète et maladies cardio-vasculaires.
Les pharmacies centrales des hôpitaux seront davantage contrôlées par des cadres du ministère de la Santé dans le cadre d'une commission spécialisée dans la gestion des médicaments pour ces enceintes. On parle même de réactiver l'Agence nationale du médicament, v'u cher des professionnels de la santé qui l'attendent depuis sa création en 2010.
Cette agence est censée mettre de l'ordre en termes d'approvisionnement des médicaments et d'établir une régulation dans le marché. Concernant les centres de santé et les polycliniques, les pouvoirs publics évoquent leurs dotations en équipements. Le rapport du ministère de la Santé a déploré l'année dernière que près de 1400 polycliniques et centres de soins de proximité ne disposent pas du minimum d'équipements pour les consultations.
De nouvelles dotations financières permettront de juguler les déficits. Idem pour les cliniques dentaires insérées dans les hôpitaux qui souffrent continuellement du manque de moyens. Le plan prévoit d'importer de nouveaux fauteuils dentaires entièrement pourvus.
Ce plan comprend des aspects techniques de rénovation du bâti conformément aux standards internationaux. Tous les CHU seront dotés d'unités de soins spécialisées pour les urgences.
Les services de chirurgie générale, cardiologie et neurologie seront pourvus d'annexes de soins entièrement équipées où, dit-on, du matériel de chirurgie et d'examens par radiologie sera importé de grands fournisseurs européens.
Ces unités de soins, ajoute cette source, seront disponibles dès le début de l'année 2014 dans les villes à grande affluence pour lesquelles une enveloppe de 10 milliards de DA sera affectée pour faire fonctionner ces structures. Le programme quinquennal 2014-2019 va consacrer près de 3% du budget de l'Etat à la santé publique affirme une source du Premier ministère.
Ce qui est vu comme un bond par rapport aux budgets dérisoires qui ont été consacrés à un secteur aussi vital que celui de la santé. Dans ce collimateur, l'Etat compte mettre de l'argent pour sauver au moins les hôpitaux de leur situation où ces derniers temps des rapports accablants ont mis le doigt sur la mauvaise gestion et l'incompétence qui règnent au sein des grands centres de santé. Ainsi, un budget spécial sera dégagé pour la lutte contre les infections nosocomiales qui menacent les malades et le personnel médical des hôpitaux.
Des incinérateurs de déchets médicaux seront créés dans 4 régions qui sont Alger, Oran, Bejaia et Annaba. Pour les pathologies lourdes, le plan prévoit de renforcer les équipes médicales et paramédicales en déployant des médecins généralistes pour des cours spéciaux autour du cancer, diabète et maladies cardio-vasculaires.
Les pharmacies centrales des hôpitaux seront davantage contrôlées par des cadres du ministère de la Santé dans le cadre d'une commission spécialisée dans la gestion des médicaments pour ces enceintes. On parle même de réactiver l'Agence nationale du médicament, v'u cher des professionnels de la santé qui l'attendent depuis sa création en 2010.
Cette agence est censée mettre de l'ordre en termes d'approvisionnement des médicaments et d'établir une régulation dans le marché. Concernant les centres de santé et les polycliniques, les pouvoirs publics évoquent leurs dotations en équipements. Le rapport du ministère de la Santé a déploré l'année dernière que près de 1400 polycliniques et centres de soins de proximité ne disposent pas du minimum d'équipements pour les consultations.
De nouvelles dotations financières permettront de juguler les déficits. Idem pour les cliniques dentaires insérées dans les hôpitaux qui souffrent continuellement du manque de moyens. Le plan prévoit d'importer de nouveaux fauteuils dentaires entièrement pourvus.