Algérie

Un phénomène difficile à combattre



Un phénomène difficile à combattre
Le ministre de l'Education nationale, Abdellatif Baba Ahmed, a affirmé jeudi qu'il "n'était pas facile, dans l'immédiat, d'éradiquer le phénomène des cours particuliers" soutenant que la réalisation d'un tel objectif nécessitait des "solutions progressives".Le ministre de l'Education nationale, Abdellatif Baba Ahmed, a affirmé jeudi qu'il "n'était pas facile, dans l'immédiat, d'éradiquer le phénomène des cours particuliers" soutenant que la réalisation d'un tel objectif nécessitait des "solutions progressives".Baba Ahmed, qui répondait à une question orale du député Abdelaziz Mansour du Front du changement lors d'une séance plénière à l'Assemble populaire nationale (APN), a précisé que les cours particuliers "se sont en quelque sorte enracinés dans la société algérienne et il n'est pas facile d'éradiquer le phénomène dans l'immédiat".Ce problème, a-t-il souligné, exige "des solutions progressives et la conjugaison des efforts de toute la communuaté éducative dans un souci d'assurer à tous les élèves les mêmes chances de succès et préserver le principe de gratuité de l'enseignement".Le ministère de l'Education, a-t-il ajouté, privilégie la "voie du dialogue" dans le traitement de ce phénomène appelant à la "préservation des établissements scolaires, la déontologie de la profession et la défense des droits des élèves". Il a mis l'accent sur "les conditions inadéquates" dans lesquelles ces cours sont dispensés, "dans des hangars et autres abris sommaires où les critères de sécurité font défaut".Pour faire face à ce phénomène, le ministère de l'Education a élaboré un décret portant une série de mesures visant à atténuer la prolifération des cours particuliers et encourager les élèves à consentir davantage d'efforts.Baba Ahmed, qui répondait à une question orale du député Abdelaziz Mansour du Front du changement lors d'une séance plénière à l'Assemble populaire nationale (APN), a précisé que les cours particuliers "se sont en quelque sorte enracinés dans la société algérienne et il n'est pas facile d'éradiquer le phénomène dans l'immédiat".Ce problème, a-t-il souligné, exige "des solutions progressives et la conjugaison des efforts de toute la communuaté éducative dans un souci d'assurer à tous les élèves les mêmes chances de succès et préserver le principe de gratuité de l'enseignement".Le ministère de l'Education, a-t-il ajouté, privilégie la "voie du dialogue" dans le traitement de ce phénomène appelant à la "préservation des établissements scolaires, la déontologie de la profession et la défense des droits des élèves". Il a mis l'accent sur "les conditions inadéquates" dans lesquelles ces cours sont dispensés, "dans des hangars et autres abris sommaires où les critères de sécurité font défaut".Pour faire face à ce phénomène, le ministère de l'Education a élaboré un décret portant une série de mesures visant à atténuer la prolifération des cours particuliers et encourager les élèves à consentir davantage d'efforts.




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