La privation volontaire de nourriture rappelle la faim, la souffrance et la pauvreté dans le monde. Les musulmans retrouvent au quotidien le vrai sens des valeurs universelles, celles de l'humanité, du respect et de l'entraide afin de renforcer les liens sociaux.La privation volontaire de nourriture rappelle la faim, la souffrance et la pauvreté dans le monde. Les musulmans retrouvent au quotidien le vrai sens des valeurs universelles, celles de l'humanité, du respect et de l'entraide afin de renforcer les liens sociaux.En jeûnant, les riches comprennent ce que les plus démunis vivent au quotidien, et ces derniers profitent de la générosité ambiante pour manger convenablement pendant ce mois-ci. Parmi les activités sociales les plus répandues, on peut citer les opérations d'aide alimentaire pour aider les plus démunis à rompre leur jeûne, en distribuant des colis alimentaires ou en offrant des repas chauds.Ces opérations sont organisées, souvent, par des associations, des collectifs ou tout simplement des familles.C'est le même topo qui s'affiche au sein de la société algérienne sans ignorer la main forte de l'Etat qui octroie annuellement des enveloppes considérables pour aider les familles nécessiteuses. Initiée en 2000 par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, l'action de solidarité durant le mois sacré de Ramadhan est renouvelée chaque année. Pour cette année, des actions solidaires seront engagées au profit des couches sociales défavorisées.Environ 1,7 million de familles algériennes sont concernées cette année à travers les différentes wilayas du pays. Une enveloppe de plus de 8 milliards DA est engagée pour cette action selon le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition féminine. Ainsi, un couffin alimentaire, d'une valeur alimentaire de trois mille (3.000) dinars, contient 12 produits alimentaires de base : semoule, farine, pois chiche, riz, orge, huile et autres aliments bien connus des foyers.Et ce, pour permettre à ces derniers de passer un Ramadhan dans des conditions convenables. Ainsi beaucoup n'oublient pas tous ceux qui ne mangent pas à leur faim. Ils sont bénévoles dans des associations, restaurateurs, etc.Tous et toutes essayent de rendre moins difficile la période du jeûne en ouvrant leurs tables, offrant le repas de rupture. Grâce à eux, les pauvres, les jeûneurs qui vivent seuls, les étudiants étrangers, les célibataires tout comme les personnes qui traversent un moment difficile bénéficient d'un repas chaud, équilibré, dans un lieu convivial.Même si l'opération est louable, et loin d'être systématique dans les pays musulmans, voire nos voisins du Maghreb, cette action reste souvent insuffisante pour venir en aide à ces familles dans le besoin, d'autant plus que durant la période du Ramadhan, nombreux sont les commerçants à augmenter le prix de leurs marchandises. Les autorités devraient donc aussi oeuvrer davantage pour le contrôle des prix.En jeûnant, les riches comprennent ce que les plus démunis vivent au quotidien, et ces derniers profitent de la générosité ambiante pour manger convenablement pendant ce mois-ci. Parmi les activités sociales les plus répandues, on peut citer les opérations d'aide alimentaire pour aider les plus démunis à rompre leur jeûne, en distribuant des colis alimentaires ou en offrant des repas chauds.Ces opérations sont organisées, souvent, par des associations, des collectifs ou tout simplement des familles.C'est le même topo qui s'affiche au sein de la société algérienne sans ignorer la main forte de l'Etat qui octroie annuellement des enveloppes considérables pour aider les familles nécessiteuses. Initiée en 2000 par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, l'action de solidarité durant le mois sacré de Ramadhan est renouvelée chaque année. Pour cette année, des actions solidaires seront engagées au profit des couches sociales défavorisées.Environ 1,7 million de familles algériennes sont concernées cette année à travers les différentes wilayas du pays. Une enveloppe de plus de 8 milliards DA est engagée pour cette action selon le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition féminine. Ainsi, un couffin alimentaire, d'une valeur alimentaire de trois mille (3.000) dinars, contient 12 produits alimentaires de base : semoule, farine, pois chiche, riz, orge, huile et autres aliments bien connus des foyers.Et ce, pour permettre à ces derniers de passer un Ramadhan dans des conditions convenables. Ainsi beaucoup n'oublient pas tous ceux qui ne mangent pas à leur faim. Ils sont bénévoles dans des associations, restaurateurs, etc.Tous et toutes essayent de rendre moins difficile la période du jeûne en ouvrant leurs tables, offrant le repas de rupture. Grâce à eux, les pauvres, les jeûneurs qui vivent seuls, les étudiants étrangers, les célibataires tout comme les personnes qui traversent un moment difficile bénéficient d'un repas chaud, équilibré, dans un lieu convivial.Même si l'opération est louable, et loin d'être systématique dans les pays musulmans, voire nos voisins du Maghreb, cette action reste souvent insuffisante pour venir en aide à ces familles dans le besoin, d'autant plus que durant la période du Ramadhan, nombreux sont les commerçants à augmenter le prix de leurs marchandises. Les autorités devraient donc aussi oeuvrer davantage pour le contrôle des prix.
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Posté Le : 07/06/2016
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : IDIR AMMOUR
Source : www.lemidi-dz.com