Algérie

Un mois de février en ébullition



Des grèves et des sit-in sont annoncés dans plusieurs secteurs. Le mois de février ne sera pas de tout repos avec les actions de contestation annoncées par des organisations civiles, à l'instar de la Coordination des chômeurs et le Mouvement des jeunes entrepreneurs.Des grèves et des sit-in sont annoncés dans plusieurs secteurs. Le mois de février ne sera pas de tout repos avec les actions de contestation annoncées par des organisations civiles, à l'instar de la Coordination des chômeurs et le Mouvement des jeunes entrepreneurs.
Avec les grèves des médecins résidents et des paramédicaux qui campent sur leurs positions, les autres organisations syndicales vont également mener des actions de protestation prévues pour le mois de février. Selon des sources syndicales, les secteurs de l'Education (Cnapeste et CLA), le Snapap et le Cnes pour l'enseignement supérieur se préparent déjà à un large mouvement de débrayage. Sauf que cette fois, les donnes ne seraient pas les mêmes selon les mêmes sources.
Au lieu de conduire des grèves illimitées qui ont un impact insidieux sur certains secteurs, les organisations précitées vont opter vers des sit-in et des marches dans des agglomérations avec le maintien d'un service d'ordre pour éviter tout dérapage. Il est fort probable que des débrayages d'une journée ou deux seront menées en concertation avec l'ensemble des acteurs.
Ce sont d'ailleurs les options choisies par l'Intersyndicale lors de son dernier conclave. En effet, les syndicats de l'Education et de l'Enseignement supérieur ont changé dans la manière de conduire la protesta. Ils sont tombés d'accord sur "le pourrissement de la situation sociale des acteurs du secteur". A ajouterque le syndicat des corps communs du secteur de l'Education composé d'agents techniques, de la maintenance et de l'administration est actuellement en grogne contre les rémunérations qui ne dépassent pas le SNMG.
On apprend également que d'autres mouvements, à l'exemple de la Coordination nationale des jeunes chômeurs implantée à Ouargla et le Mouvement des jeunes entrepreneurs vont être de la partie. Pour le premier, il s'agit de réoccuper le terrain par des sit-in qui seront organisés au niveau des sites de production pétrolière alors que pour le deuxième, c'est une grève générale qui est annoncée à l'horizon.
Les jeunes chômeurs du Sud veulent faire entendre, encore une fois, leurs voix pour "protester contre le manque de recrutement de la part des entreprises publiques et notamment celles spécialisées dans les hydrocarbures". Une vieille revendication qui n'a pas toujours trouvé des échos favorables auprès des responsables selon le coordinateur national du mouvement.
On s'attendra donc à un effet boule de neige sur les masses de chômeurs qui vont se regrouper dans les wilayas du Sud. Face à cette tournure inquiétante, les principaux responsables de tutelle vont devoir réagir promptement face aux événements à venir. Seul un dialogue permanent reste à promouvoir entre les deux parties.
Avec les grèves des médecins résidents et des paramédicaux qui campent sur leurs positions, les autres organisations syndicales vont également mener des actions de protestation prévues pour le mois de février. Selon des sources syndicales, les secteurs de l'Education (Cnapeste et CLA), le Snapap et le Cnes pour l'enseignement supérieur se préparent déjà à un large mouvement de débrayage. Sauf que cette fois, les donnes ne seraient pas les mêmes selon les mêmes sources.
Au lieu de conduire des grèves illimitées qui ont un impact insidieux sur certains secteurs, les organisations précitées vont opter vers des sit-in et des marches dans des agglomérations avec le maintien d'un service d'ordre pour éviter tout dérapage. Il est fort probable que des débrayages d'une journée ou deux seront menées en concertation avec l'ensemble des acteurs.
Ce sont d'ailleurs les options choisies par l'Intersyndicale lors de son dernier conclave. En effet, les syndicats de l'Education et de l'Enseignement supérieur ont changé dans la manière de conduire la protesta. Ils sont tombés d'accord sur "le pourrissement de la situation sociale des acteurs du secteur". A ajouterque le syndicat des corps communs du secteur de l'Education composé d'agents techniques, de la maintenance et de l'administration est actuellement en grogne contre les rémunérations qui ne dépassent pas le SNMG.
On apprend également que d'autres mouvements, à l'exemple de la Coordination nationale des jeunes chômeurs implantée à Ouargla et le Mouvement des jeunes entrepreneurs vont être de la partie. Pour le premier, il s'agit de réoccuper le terrain par des sit-in qui seront organisés au niveau des sites de production pétrolière alors que pour le deuxième, c'est une grève générale qui est annoncée à l'horizon.
Les jeunes chômeurs du Sud veulent faire entendre, encore une fois, leurs voix pour "protester contre le manque de recrutement de la part des entreprises publiques et notamment celles spécialisées dans les hydrocarbures". Une vieille revendication qui n'a pas toujours trouvé des échos favorables auprès des responsables selon le coordinateur national du mouvement.
On s'attendra donc à un effet boule de neige sur les masses de chômeurs qui vont se regrouper dans les wilayas du Sud. Face à cette tournure inquiétante, les principaux responsables de tutelle vont devoir réagir promptement face aux événements à venir. Seul un dialogue permanent reste à promouvoir entre les deux parties.


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