Algérie

Un meeting sous haute tension



Ali Benflis fait, décidément, de l'attaque contre la "bande" son cheval de bataille politique durant cette campagne électorale. Hier en tout cas, à partir de Bouira où il a animé un meeting, il est revenu à la charge en indiquant que "les bandits ont accaparé le sceau de la République pour designer les hauts responsables de l'Etat".Ali Benflis fait, décidément, de l'attaque contre la "bande" son cheval de bataille politique durant cette campagne électorale. Hier en tout cas, à partir de Bouira où il a animé un meeting, il est revenu à la charge en indiquant que "les bandits ont accaparé le sceau de la République pour designer les hauts responsables de l'Etat".
Il a indiqué que pendant que la "bande tenait les rênes de l'Etat, il a publié un livre blanc sur la fraude électorale de 2014. Un livre que pratiquement toutes les imprimeries ont refusé de publier sauf une". Il a affirmé ne "possédant aucun bien à l'étranger et ne voyager à l'étranger que pour des raisons familiales". L'allusion au candidat Tebbboune est à peine voilée. Benflis , dont le meeting a failli ne pas avoir lieu suite à la manifestation des anti-scrutin et des échauffourées avec les forces de l'ordre ayant provoqué plusieurs blessée alors que des manifestants ont été interpellées, a indiqué être venu à Bouira pour "favoriser le dialogue et qu'il est contre la violence".
Le candidat est revenu sur son opposition à l'ancien Président et sa candidature à la présidentielle de 2004. Il dira avoir payé, lui et ses partisans, un lourd tribut à cause de cette opposition. "Plusieurs cadres de l'Etat, qui m'ont soutenu, ont été marginalisés alors que des hommes d'affaires ont été persécutés et ont déclaré faillite par la suite". Il a indiqué, contrairement à ce qui lui est reproché, de n'avoir pas "abandonné l'action politique en 2004 puisqu'il a continué à sillonner le pays pour propager ses idées". Il dira avoir été contre la révision de la Constitution de 2008. "Je suis un homme politique et je ne resterai pas les bras croisés" a-t-il clamé comme pour justifier sa participation à cette élection.
Il a indiqué que pendant que la "bande tenait les rênes de l'Etat, il a publié un livre blanc sur la fraude électorale de 2014. Un livre que pratiquement toutes les imprimeries ont refusé de publier sauf une". Il a affirmé ne "possédant aucun bien à l'étranger et ne voyager à l'étranger que pour des raisons familiales". L'allusion au candidat Tebbboune est à peine voilée. Benflis , dont le meeting a failli ne pas avoir lieu suite à la manifestation des anti-scrutin et des échauffourées avec les forces de l'ordre ayant provoqué plusieurs blessée alors que des manifestants ont été interpellées, a indiqué être venu à Bouira pour "favoriser le dialogue et qu'il est contre la violence".
Le candidat est revenu sur son opposition à l'ancien Président et sa candidature à la présidentielle de 2004. Il dira avoir payé, lui et ses partisans, un lourd tribut à cause de cette opposition. "Plusieurs cadres de l'Etat, qui m'ont soutenu, ont été marginalisés alors que des hommes d'affaires ont été persécutés et ont déclaré faillite par la suite". Il a indiqué, contrairement à ce qui lui est reproché, de n'avoir pas "abandonné l'action politique en 2004 puisqu'il a continué à sillonner le pays pour propager ses idées". Il dira avoir été contre la révision de la Constitution de 2008. "Je suis un homme politique et je ne resterai pas les bras croisés" a-t-il clamé comme pour justifier sa participation à cette élection.


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