Doha, qui rêve de jouer un rôle d’intercesseur régional sur la scène diplomatique, a réussi à s’imposer comme un médiateur de premier plan. Depuis que le pays a siégé en tant que membre non permanent au Conseil de sécurité des Nations unies (dont il a assuré la présidence tournante en décembre 2006), en 2006 et 2007, son action sur la scène internationale est devenue beaucoup plus visible. En particulier en 2008, alors qu’il assurait la présidence du Conseil de coopération des Etats arabes du Golfe (CCEAG). Dynamique (surtout si l’on considère la taille du pays), la diplomatie qatarie se distingue également par l’originalité de ses positions, du fait des liens tissés avec une multitude de partenaires.
Préoccupées par la situation au Proche-Orient, les autorités qataries expriment régulièrement leur soutien à l’Autorité palestinienne et à sa présidence et entretiennent des relations tant avec les responsables palestiniens qu’avec les autorités israéliennes. La diplomatie qatarie a activement soutenu un règlement du conflit libanais ainsi que la reconstruction économique du Liban. L’accord de Doha, signé le 21 mai 2008 entre les différentes parties libanaises, sous l’égide du Premier ministre qatari, a constitué un succès indéniable pour la diplomatie qatarie en permettant d’envisager une issue à la grave crise politique que connaissait le Liban depuis un an et demi.
Je n'arrive pas à saisir le but de cet article ... C'est à l'occasion de quel évènement le journaliste veut-il nous rappeler le poids de Qatar dans ses médiations diplomatiques???
Amina - Etudiante en sciences politiques - Oran, Algérie
17/09/2010 - 6645
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Posté Le : 17/09/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : Zouheir Ait Mouhoub
Source : www.elwatan.com