Algérie

Un laboratoire régional pour le contrôle Constantine, Produits pharmaceutiques



Un laboratoire régional pour le contrôle                                    Constantine, Produits pharmaceutiques
La wilaya de Constantine vient de bénéficier d'un projet de réalisation d'un laboratoire régional de contrôle des produits pharmaceutiques (LRCPP) devant être lancé en travaux "incessamment", a indiqué, lundi, le directeur de la Santé à l'APS.
Ce projet, deuxième du genre à l'échelle nationale, contribuera à "améliorer la qualité de la couverture pharmaceutique à Constantine et dans toutes les wilayas de l'est algérien", a souligné Azouz Assaci, faisant part de l'impact de ce futur laboratoire dans la lutte contre toute forme de contrefaçon ciblant les produits pharmaceutiques.
Une fois opérationnel, ce futur laboratoire constituera un "passage obligatoire" pour tous les lots de médicaments mis sur le marché, a affirmé le même responsable, précisant que le contrôle de la qualité ciblera les produits fabriqués localement ainsi que ceux importés.
Le choix de la wilaya de Constantine pour l'implantation de ce projet n'est pas fortuit, a affirmé le même responsable, rappelant à ce propos la réputation de cette wilaya considérée, avec ses 10 usines de fabrication de médicaments, comme un pôle d'excellence en la matière.
L'inspection des unités de fabrication des médicaments figure également parmi les missions qui seront dévolues à ce laboratoire, a encore souligné M. Assaci, soulignant "l'impact de ce projet dans la surveillance des circuits de fabrication des médicaments depuis l'achat de la matière première jusqu'à la transformation du produit final".
La création de cette nouvelle structure de contrôle des produits pharmaceutiques sera en mesure de réduire le taux de non-conformité des médicaments, a ajouté le même responsable.
Ce projet devant être implanté à la nouvelle ville Ali-Mendjeli "sera d'un apport considérable" pour le Laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques (LNCPP) retenu en 2011, et pour la deuxième fois consécutive, dans la liste des laboratoires qualifiés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), a-t-on rappelé.
La wilaya de Constantine vient de bénéficier d'un projet de réalisation d'un laboratoire régional de contrôle des produits pharmaceutiques (LRCPP) devant être lancé en travaux "incessamment", a indiqué, lundi, le directeur de la Santé à l'APS.
Ce projet, deuxième du genre à l'échelle nationale, contribuera à "améliorer la qualité de la couverture pharmaceutique à Constantine et dans toutes les wilayas de l'est algérien", a souligné Azouz Assaci, faisant part de l'impact de ce futur laboratoire dans la lutte contre toute forme de contrefaçon ciblant les produits pharmaceutiques.
Une fois opérationnel, ce futur laboratoire constituera un "passage obligatoire" pour tous les lots de médicaments mis sur le marché, a affirmé le même responsable, précisant que le contrôle de la qualité ciblera les produits fabriqués localement ainsi que ceux importés.
Le choix de la wilaya de Constantine pour l'implantation de ce projet n'est pas fortuit, a affirmé le même responsable, rappelant à ce propos la réputation de cette wilaya considérée, avec ses 10 usines de fabrication de médicaments, comme un pôle d'excellence en la matière.
L'inspection des unités de fabrication des médicaments figure également parmi les missions qui seront dévolues à ce laboratoire, a encore souligné M. Assaci, soulignant "l'impact de ce projet dans la surveillance des circuits de fabrication des médicaments depuis l'achat de la matière première jusqu'à la transformation du produit final".
La création de cette nouvelle structure de contrôle des produits pharmaceutiques sera en mesure de réduire le taux de non-conformité des médicaments, a ajouté le même responsable.
Ce projet devant être implanté à la nouvelle ville Ali-Mendjeli "sera d'un apport considérable" pour le Laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques (LNCPP) retenu en 2011, et pour la deuxième fois consécutive, dans la liste des laboratoires qualifiés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), a-t-on rappelé.


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