La persistance du déficit d'emplois décents et permanents à Tiaret provoque des conséquences néfastes sur le plan social. Les divers dispositifs sociaux d'emploi (IAIG, DAIS, AFS...) ont pu atténuer la souffrance de certains ménages, pour peu que la situation trouve une solution ferme et adéquate.Le cas de ce père de famille de 53 ans de Medrissa et de nombreux autres interpelle les autorités compétentes et les décideurs du volet emploi, qui doivent faire montre de prise de conscience quant aux modalités de recrutement.
Ce dernier, M. B., père de trois enfants, qui a été enrôlé dans le cadre du Dispositif d'activité d'insertion sociale (DAIS) depuis 1992, soit depuis 29 ans, n'arrive toujours pas à s'assurer un emploi permanent.
"Initialement, j'étais placé dans une structure de santé avant de demander un transfert vers le secteur de l'éducation où je pensais avoir la chance d'être recruté définitivement.
En vain", nous affirme, désespérément, ce dernier qui sollicite l'opinion publique pour lui trouver une "équation" idéale pour subvenir aux besoins de sa famille avec une indemnité de 5 400 DA.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 18/05/2021
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Farid BELGACEM
Source : www.liberte-algerie.com