Un guide de déontologie qui précise les missions du policier

En de pareilles circonstances, les cérémonies et fêtes sont mise à profit, pour faire des déclarations ou transmettre des messages ou encore répondre à des attentes. Hier, dans les 48 wilayas des cérémonies ont été organisées pour fêter la journée de la police arabe.Tous les chefs de sureté de wilaya ont lu à l'assistance la lettre du directeur général de la sureté nationale. Nous avions couvert l'activité de la wilaya de Djelfa et le colonel Ababsa Abdallah avait lu la lettre que le général El Hamel a adressé à l'ensemble des cadres et des agents de la sureté nationale. La manière avec laquelle le CSW de Djelfa avait lu la lettre contenant le guide a retenu l'attention de tous ses auditeurs. Ce qui n'est pas passé inaperçu, si la direction était plus fluide que le discours de bien venue le fond était captivant. Très intéressant dans la totalité, humain dans sa teneur, souverain dans son âme et souple pour son application. Enfin il a fait aimer et respecté le DGSN à ses auditeurs. Le guide de déontologie s'inspire du statut particulier et il constitue la plateforme de référence du policier. Si certains de nous font la remarque de la démarche actuelle que nous considérons à des degrés différents de la latente ; elle est par contre une étape transitoire obligatoire et nécessaire pour le passage aux étapes prochaines. Donc c'est une dynamique. A la lecture par le chef de sûreté de wilaya des recommandations d'El Hamel nous retenons : que «le guide de déontologie constitue la plateforme sur laquelle se base le policier dans l'accomplissement de ses missions afin d'en définir les contours avec précision» le discours a été repris par l'APS. Nous reprenons de larges passages: «La réalisation de cette démarche exige de l'ensemble des responsables de la police arabe davantage de travail pour consolider la coopération, l'échange d'expériences et d'informations, et l'examen de toutes les approches sécuritaires visant à assister chaque pays dans sa lutte contre la criminalité transcontinentale et transfrontalière, a ajouté le DGSN».