"Un gros mensonge" selon Salim Labatcha SG de L'UGTA

Annoncée à maintes reprises, la liste des métiers pénibles n'arrive toujours pas à voir le bout du tunnel. Rien ne s'est traduit dans les faits au grand dam des travailleurs épuisés par des années de dur labeur. Pour rappel, cela fait 34 ans qu'on a institué une loi pour déterminer les tâches péniblesAnnoncée à maintes reprises, la liste des métiers pénibles n'arrive toujours pas à voir le bout du tunnel. Rien ne s'est traduit dans les faits au grand dam des travailleurs épuisés par des années de dur labeur. Pour rappel, cela fait 34 ans qu'on a institué une loi pour déterminer les tâches pénibles
(article 7 de la loi 83-02) et on ne l'a toujours pas concrétisé. Après le changement de la loi sur la retraite en 2016, qui n'était au final que du bluff, rappelons- nous, le gouvernement a invoqué la possibilité d'un départ à la retraite à l'âge de 55 ans pour les hommes et à 50 ans pour les femmes pour tous ceux exerçant des métiers pénibles. Comme le passé nous rattrape à chaque fois, le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Salim Labatcha, vient d'affirmer à l'un de nos collègues en marge de la cérémonie élective du nouveau syndicat de la Seaal que c'était tout "simplement une grosse farce", En effet, le patron de l'UGTA, a révélé, que ce qui était connu comme le dossier des "métiers pénibles" n'était qu'un "gros mensonge". Tout en précisant qu'il n'y a absolument aucun dossier dans ce sens au siège de l'Union générale des travailleurs algériens. Sûr de lui, il a même défié quiconque de lui prouver le contraire.
Il a expliqué que "le dossier a été livré à l'opinion publique avant que la loi sur la retraite ne soit amendée en 2016, juste pour absorber la colère populaire". Par contre, il a souligné que les hautes autorités du pays, dirigées par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, ne "s'opposent pas à la réouverture du dossier des retraites et sa réforme avec les différents partenaires". Pour ce, Salim Labatcha appelle le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale à "l'ouverture d'un atelier au cours duquel un dialogue approfondi, sincère et responsable, autour d'une table, discutant des détails et des causes réelles du déficit de la Caisse de retraite, et diagnostiquer le mal avec précision, sa source, puis les mesures nécessaires à prendre".
(article 7 de la loi 83-02) et on ne l'a toujours pas concrétisé. Après le changement de la loi sur la retraite en 2016, qui n'était au final que du bluff, rappelons- nous, le gouvernement a invoqué la possibilité d'un départ à la retraite à l'âge de 55 ans pour les hommes et à 50 ans pour les femmes pour tous ceux exerçant des métiers pénibles. Comme le passé nous rattrape à chaque fois, le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Salim Labatcha, vient d'affirmer à l'un de nos collègues en marge de la cérémonie élective du nouveau syndicat de la Seaal que c'était tout "simplement une grosse farce", En effet, le patron de l'UGTA, a révélé, que ce qui était connu comme le dossier des "métiers pénibles" n'était qu'un "gros mensonge". Tout en précisant qu'il n'y a absolument aucun dossier dans ce sens au siège de l'Union générale des travailleurs algériens. Sûr de lui, il a même défié quiconque de lui prouver le contraire.
Il a expliqué que "le dossier a été livré à l'opinion publique avant que la loi sur la retraite ne soit amendée en 2016, juste pour absorber la colère populaire". Par contre, il a souligné que les hautes autorités du pays, dirigées par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, ne "s'opposent pas à la réouverture du dossier des retraites et sa réforme avec les différents partenaires". Pour ce, Salim Labatcha appelle le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale à "l'ouverture d'un atelier au cours duquel un dialogue approfondi, sincère et responsable, autour d'une table, discutant des détails et des causes réelles du déficit de la Caisse de retraite, et diagnostiquer le mal avec précision, sa source, puis les mesures nécessaires à prendre".