Algérie

Un fonds algéro-iranien de 100 millions de dollars


«Nous voulons une présence accrue de sociétés iraniennes en Algérie, et nous sommes prêts à leur assurer des garanties bancaires, notamment en matière de change et de transferts de capitaux et de dividendes.Les solutions existent donc, dans la mesure où nous avons un fonds financier commun évalué à 100 millions dollars (50 millions détenus par la partie algérienne et l'autre moitié revient aux industriels iraniens)".
Kellil estime que ce fonds commun de 100 millions dollars est le fruit de négociations entre les deux délégations qui sont arrivés à un accord, récemment, à Téhéran.
«Ce fonds peut augmenter en valeur financière et les banques algériennes corroborent les garanties des banques iraniennes. Mais, la délégation iranienne peut proposer à Alger, des solutions pragmatiques à tous les problèmes concernant les investissements communs entre l'Algérie et l'Iran», a-t-il déclaré.
Par ailleurs, le président de la CACI a incité les hommes d'affaires iraniens à investir en Algérie en leur précisant qu'ils peuvent bénéficier d'exonérations fiscales allant de 5 à 10 années dans divers domaines, tels que l'énergie, l'eau et l'irrigation où les industriels iraniens possèdent des compétences importantes.
Pour lui, "l'Algérie est un vaste marché dans le Maghreb avec plus de 100 millions de consommateurs", sachant également que la proximité du marché de l'Union européenne et de la zone arabe de libre-échange peuvent attirer les investisseurs iraniens, notamment pour ce qui est des exportations vers les pays arabes.
Entre l'Algérie et l'Iran, il n'existe pas, actuellement d'investissements communs dans la mesure où les entreprises iraniennes se consacrent seulement aux activités commerciales et l'exportation de produits vers l'Algérie, alors que les opérateurs économiques algériens désirent un partenariat basé sur de réels investissements. «C'est là que réside notre objectif primordial», a ajouté Kellil.
Les entrepreneurs algériens vont s'efforcer de faire connaître les produits nationaux sur le marché iranien pour pouvoir les exporter en dénichant des clients potentiels.
Les échanges commerciaux entre les deux pays sont de l'ordre de 40 millions de dollars, s'agissant principalement de biens et d'équipements mécaniques, électriques et chimiques.
L'Iran cible les jeunes Algériens
en matière de main-d'?uvre
Le chef de la délégation iranienne et président de la Chambre de Commerce et d'industrie, et des mines, Mohamed, Nehawnidyen, a souligné que l'Algérie occupe une position géographique stratégique et possède une jeunesse qui peut être employée par les industriels iraniens, dont les principaux producteurs et exportateurs se situent au niveau de la construction automobile, l'industrie agroalimentaire. «Nous voulons transposer en Algérie l'expérience économique et industrielle iranienne qui a atteint un niveau commercial élevé, sachant que nous avons l'autosuffisance alimentaire et nous transférons nos technologies de l'automobile, de l'agroalimentaire, de la mécanique et du ciment dans 100 pays».
«Nous voulons une présence accrue de sociétés iraniennes en Algérie, et nous sommes prêts à leur assurer des garanties bancaires, notamment en matière de change et de transferts de capitaux et de dividendes.
Les solutions existent donc, dans la mesure où nous avons un fonds financier commun évalué à 100 millions dollars (50 millions détenus par la partie algérienne et l'autre moitié revient aux industriels iraniens)".
Kellil estime que ce fonds commun de 100 millions dollars est le fruit de négociations entre les deux délégations qui sont arrivés à un accord, récemment, à Téhéran.
«Ce fonds peut augmenter en valeur financière et les banques algériennes corroborent les garanties des banques iraniennes. Mais, la délégation iranienne peut proposer à Alger, des solutions pragmatiques à tous les problèmes concernant les investissements communs entre l'Algérie et l'Iran», a-t-il déclaré.
Par ailleurs, le président de la CACI a incité les hommes d'affaires iraniens à investir en Algérie en leur précisant qu'ils peuvent bénéficier d'exonérations fiscales allant de 5 à 10 années dans divers domaines, tels que l'énergie, l'eau et l'irrigation où les industriels iraniens possèdent des compétences importantes.
Pour lui, "l'Algérie est un vaste marché dans le Maghreb avec plus de 100 millions de consommateurs", sachant également que la proximité du marché de l'Union européenne et de la zone arabe de libre-échange peuvent attirer les investisseurs iraniens, notamment pour ce qui est des exportations vers les pays arabes.
Entre l'Algérie et l'Iran, il n'existe pas, actuellement d'investissements communs dans la mesure où les entreprises iraniennes se consacrent seulement aux activités commerciales et l'exportation de produits vers l'Algérie, alors que les opérateurs économiques algériens désirent un partenariat basé sur de réels investissements. «C'est là que réside notre objectif primordial», a ajouté Kellil.
Les entrepreneurs algériens vont s'efforcer de faire connaître les produits nationaux sur le marché iranien pour pouvoir les exporter en dénichant des clients potentiels.
Les échanges commerciaux entre les deux pays sont de l'ordre de 40 millions de dollars, s'agissant principalement de biens et d'équipements mécaniques, électriques et chimiques.
L'Iran cible les jeunes Algériens
en matière de main-d'?uvre
Le chef de la délégation iranienne et président de la Chambre de Commerce et d'industrie, et des mines, Mohamed, Nehawnidyen, a souligné que l'Algérie occupe une position géographique stratégique et possède une jeunesse qui peut être employée par les industriels iraniens, dont les principaux producteurs et exportateurs se situent au niveau de la construction automobile, l'industrie agroalimentaire. «Nous voulons transposer en Algérie l'expérience économique et industrielle iranienne qui a atteint un niveau commercial élevé, sachant que nous avons l'autosuffisance alimentaire et nous transférons nos technologies de l'automobile, de l'agroalimentaire, de la mécanique et du ciment dans 100 pays».
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