Cela fait une quinzaine de jours que la campagne électorale pour les élections locales anticipées du 27 novembre bat son plein. Entamée le jeudi 4 novembre dernier, elle entrera en effet à partir de demain dans sa troisième et dernière semaine.Cela fait une quinzaine de jours que la campagne électorale pour les élections locales anticipées du 27 novembre bat son plein. Entamée le jeudi 4 novembre dernier, elle entrera en effet à partir de demain dans sa troisième et dernière semaine.
Quinze jours durant lesquels les partis politiques et les indépendants en lice pour ce rendez-vous électoral ont déployé toutes leurs énergies pour séduire les Algériens en les incitant à aller voter en leur faveur le jour "J", soit le samedi 27 novembre prochain. Il est donc certain que cette période de 15 jours est amplement suffisante pour les partis d'avoir une évaluation de la situation, en somme un premier bilan de cette campagne électorale et de pouvoir ainsi mettre les bouchées doubles pour la cette dernière semaine. Selon les échos ayant filtré des permanences des états-majors politiques, il semble que l'on ne soit pas totalement satisfait ou mécontent.
Autant dire que l'appréciation est mitigée. Car le constat est on ne peut plus clair : il n'y a pas eu le grand engouement populaire comme souhaité par les candidats et leurs partis politiques. Cela a été notamment constaté lors des meetings électoraux ou l'affluence n'a pas atteint son paroxysme. Les partispolitiques peinent en effet à mobiliser les foules et ce même si les salles ne sont pas organisées les rassemblements ne sontpas assez vastes. Les salles ne sont relativement pleines que lorsque ce sont les leaders politiques des formations politiques en lice qui animent les meetings. La campagne d'affichage n'a pas, elle aussi, démarré en trombe puisqu'il a fallu attendre au moins une dizaine de jours pour garnir les panneaux électoraux et permettre ainsi aux citoyens de découvrir le visage des candidats qui ambitionnent de briguer un siège aux assemblées populaires communales ou assemblées populaires de wilayas. Ce peu d'engouement était , estiment les observateurs , très attendu . Il n'y a qu'à voir le contexte politique et social du déroulement de cette campagne électorale .
En effet le contexte est franchement peu propice à la mobilisation des foules. Ces dernières, aux prises avec les difficultés de la vie quotidienne, ont, en toute logique, l'esprit bien ailleurs. Sur ce plan la cherté de la vie au vu de l'envolée des produits de première nécessité, notamment les produits alimentaires et les viandes blanches qui ont atteint les records, ont poussé de larges pans de la population à avoir des attitudes empreintes d'un fort scepticisme pour ne pas dire une certaine aversion de la chose politique. Les partis politiques et les indépendants maintiennent, pourtant, le cap et n'ont guère le choix à vrai dire puisque ilssavaient au préalable que la campagne électorale n'allait pas être , dans une conjoncture aussi morose sur le plan social, une simple sinécure. Et pour pallier cette désaffection du public les partis et les candidats ont eu recours en force aux réseaux sociaux. C'est en effet sur ces derniers qu'ils ont mis beaucoup d'énergie en vue de séduire un maximum d'électeurs. Le travail de proximité n'est pas en reste et chaque candidat tente ainsi de toucher un maximum de citoyens. Ce d'autant que le mode électoral favorise et motive chaque candidat à faire sa propre calogène électorale.
Quinze jours durant lesquels les partis politiques et les indépendants en lice pour ce rendez-vous électoral ont déployé toutes leurs énergies pour séduire les Algériens en les incitant à aller voter en leur faveur le jour "J", soit le samedi 27 novembre prochain. Il est donc certain que cette période de 15 jours est amplement suffisante pour les partis d'avoir une évaluation de la situation, en somme un premier bilan de cette campagne électorale et de pouvoir ainsi mettre les bouchées doubles pour la cette dernière semaine. Selon les échos ayant filtré des permanences des états-majors politiques, il semble que l'on ne soit pas totalement satisfait ou mécontent.
Autant dire que l'appréciation est mitigée. Car le constat est on ne peut plus clair : il n'y a pas eu le grand engouement populaire comme souhaité par les candidats et leurs partis politiques. Cela a été notamment constaté lors des meetings électoraux ou l'affluence n'a pas atteint son paroxysme. Les partispolitiques peinent en effet à mobiliser les foules et ce même si les salles ne sont pas organisées les rassemblements ne sontpas assez vastes. Les salles ne sont relativement pleines que lorsque ce sont les leaders politiques des formations politiques en lice qui animent les meetings. La campagne d'affichage n'a pas, elle aussi, démarré en trombe puisqu'il a fallu attendre au moins une dizaine de jours pour garnir les panneaux électoraux et permettre ainsi aux citoyens de découvrir le visage des candidats qui ambitionnent de briguer un siège aux assemblées populaires communales ou assemblées populaires de wilayas. Ce peu d'engouement était , estiment les observateurs , très attendu . Il n'y a qu'à voir le contexte politique et social du déroulement de cette campagne électorale .
En effet le contexte est franchement peu propice à la mobilisation des foules. Ces dernières, aux prises avec les difficultés de la vie quotidienne, ont, en toute logique, l'esprit bien ailleurs. Sur ce plan la cherté de la vie au vu de l'envolée des produits de première nécessité, notamment les produits alimentaires et les viandes blanches qui ont atteint les records, ont poussé de larges pans de la population à avoir des attitudes empreintes d'un fort scepticisme pour ne pas dire une certaine aversion de la chose politique. Les partis politiques et les indépendants maintiennent, pourtant, le cap et n'ont guère le choix à vrai dire puisque ilssavaient au préalable que la campagne électorale n'allait pas être , dans une conjoncture aussi morose sur le plan social, une simple sinécure. Et pour pallier cette désaffection du public les partis et les candidats ont eu recours en force aux réseaux sociaux. C'est en effet sur ces derniers qu'ils ont mis beaucoup d'énergie en vue de séduire un maximum d'électeurs. Le travail de proximité n'est pas en reste et chaque candidat tente ainsi de toucher un maximum de citoyens. Ce d'autant que le mode électoral favorise et motive chaque candidat à faire sa propre calogène électorale.
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Posté Le : 18/11/2021
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com