Algérie

Un clin d'oeil de Bouchouareb pour les investisseurs privés



Un clin d'oeil de Bouchouareb pour les investisseurs privés
Le ministre de l'industrie et des mines, Abdeslam Bouchouareb, a profité de la tenue de la 18ème tripartite pour inviter les investisseurs privés à s'impliquer corps et âme dans le développement économique et social de l'Algérie, notamment dans ce contexte marqué par la fragilité des prix du pétrole.Le ministre de l'industrie et des mines, Abdeslam Bouchouareb, a profité de la tenue de la 18ème tripartite pour inviter les investisseurs privés à s'impliquer corps et âme dans le développement économique et social de l'Algérie, notamment dans ce contexte marqué par la fragilité des prix du pétrole.Qualifiant le rendez-vous de Biskra «d'incontournable», il a expliqué devant le patronat et l'UGTA les résultats du 3ème rapport d'étape élaboré par le Comité de suivi de l'application du Pacte qu'il a lui même présidé.« C'est un document très dense, riche et plein d'enseignements pour lequel nous avons jugé utile d'y adjoindre, cette foisci, une partie relative à la conjoncture internationale et l'effet induit sur la politique macro-économique. Je ne vais pas reprendre tout le rapport mais je m'arrêterai sur les aspects qui me paraissent les plus pertinents et expressifs de l'action que nous menons au quotidien avec un focus sur deux axes majeurs, à savoir la valorisation de la production nationale et l'amélioration du climat des affaires et l'encouragement de l'investissement productif », a-til déclaré.Le ministre de l'Industrie a assuré que "la réindustrialisassions est également une cause nationale » soutenue désormais par « une nouvelle ambition industrielle et technologique » pour l'Algérie. Il a dit que le gouvernement « a pris ses responsabilités » sur le plan des réformes économiques et affirmé qu'en 2015, il s'est attelé à mettre en place « les leviers qui feront notre croissance future ».« Les lois des finances 2015 - initiale et complémentaire- conjuguées aux avancées réelles sur le code des marchés publics, les nouvelles dispositions au titre du projet de loi portant code de procédures pénales, le nouveau code des investissements, la loi sur la normalisation et bientôt sur la PME montrent la voie et offrent un cadre approprié qui permet non seulement d'ériger une véritable riposte aux difficultés que traverse l'économie nationale mais également de consacrer les choix stratégiques pour le développement futur », a-t-il expliqué, se voulant à ce propos convaincant et rassurant à la fois. Bouchouareb a estimé que « notre économie est engagée dans sa phase décisive » et soutenu que « qu'elle se trouve à présent à la croisée des chemins ».« Cette phase requiert d'agir de manière diligente et avec diligence pour mettre l'entreprise dans les conditions qui lui permettent de transformer les ressources dégagées en croissance spontanée et auto-entretenue et donc de meilleure qualité.Le niveau de croissance doit être suffisant pour assurer un développement endogène car la diversification de notre économie, l'amélioration autant du niveau que de la qualité de notre croissance et générer des emplois économiquement viables doivent être appréhendés comme une cause nationale qui doit être servie par tous », a-t-il considéré.Bouchouareb ne manquera pas de revenir au dernier événement « industriel » qu'a connu notre pays récemment, à savoir la reprise de la totalité du capital du complexe d'El-Hadjar par le Groupe I Métal. Il a réaffirmé ce qu'il avait déja avancé en déclarant que l'Etat n'a pas déboursé le moindre sou et s'es félicité de cette transaction qui fait partie, selon lui, de ces « choix stratégiques » de notre ambition industrielle qui consacre comme structurante « la construction d'une filière sidérurgique et métallurgique forte et capable de satisfaire la demande locale et d'envisager l'export ».« L'Etat fixe le cap et nos partenaires y adhèrent. Voilà notre vocation de stratège et à l'entreprise de saisir les opportunités», a-t-il lancé en révélant à l'occasion la libération de 31 parcs industriels sur les 49 programmés et dont peuvent désormais tirer profit les investisseurs privés, outre ceux de l'Etat.Qualifiant le rendez-vous de Biskra «d'incontournable», il a expliqué devant le patronat et l'UGTA les résultats du 3ème rapport d'étape élaboré par le Comité de suivi de l'application du Pacte qu'il a lui même présidé.« C'est un document très dense, riche et plein d'enseignements pour lequel nous avons jugé utile d'y adjoindre, cette foisci, une partie relative à la conjoncture internationale et l'effet induit sur la politique macro-économique. Je ne vais pas reprendre tout le rapport mais je m'arrêterai sur les aspects qui me paraissent les plus pertinents et expressifs de l'action que nous menons au quotidien avec un focus sur deux axes majeurs, à savoir la valorisation de la production nationale et l'amélioration du climat des affaires et l'encouragement de l'investissement productif », a-til déclaré.Le ministre de l'Industrie a assuré que "la réindustrialisassions est également une cause nationale » soutenue désormais par « une nouvelle ambition industrielle et technologique » pour l'Algérie. Il a dit que le gouvernement « a pris ses responsabilités » sur le plan des réformes économiques et affirmé qu'en 2015, il s'est attelé à mettre en place « les leviers qui feront notre croissance future ».« Les lois des finances 2015 - initiale et complémentaire- conjuguées aux avancées réelles sur le code des marchés publics, les nouvelles dispositions au titre du projet de loi portant code de procédures pénales, le nouveau code des investissements, la loi sur la normalisation et bientôt sur la PME montrent la voie et offrent un cadre approprié qui permet non seulement d'ériger une véritable riposte aux difficultés que traverse l'économie nationale mais également de consacrer les choix stratégiques pour le développement futur », a-t-il expliqué, se voulant à ce propos convaincant et rassurant à la fois. Bouchouareb a estimé que « notre économie est engagée dans sa phase décisive » et soutenu que « qu'elle se trouve à présent à la croisée des chemins ».« Cette phase requiert d'agir de manière diligente et avec diligence pour mettre l'entreprise dans les conditions qui lui permettent de transformer les ressources dégagées en croissance spontanée et auto-entretenue et donc de meilleure qualité.Le niveau de croissance doit être suffisant pour assurer un développement endogène car la diversification de notre économie, l'amélioration autant du niveau que de la qualité de notre croissance et générer des emplois économiquement viables doivent être appréhendés comme une cause nationale qui doit être servie par tous », a-t-il considéré.Bouchouareb ne manquera pas de revenir au dernier événement « industriel » qu'a connu notre pays récemment, à savoir la reprise de la totalité du capital du complexe d'El-Hadjar par le Groupe I Métal. Il a réaffirmé ce qu'il avait déja avancé en déclarant que l'Etat n'a pas déboursé le moindre sou et s'es félicité de cette transaction qui fait partie, selon lui, de ces « choix stratégiques » de notre ambition industrielle qui consacre comme structurante « la construction d'une filière sidérurgique et métallurgique forte et capable de satisfaire la demande locale et d'envisager l'export ».« L'Etat fixe le cap et nos partenaires y adhèrent. Voilà notre vocation de stratège et à l'entreprise de saisir les opportunités», a-t-il lancé en révélant à l'occasion la libération de 31 parcs industriels sur les 49 programmés et dont peuvent désormais tirer profit les investisseurs privés, outre ceux de l'Etat.




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