Son prédécesseur avait ouvert la saison estivale 2013 depuis Béjaïa, effectivement destination touristique, à condition de ne pas être regardant sur l’hygiène.
Les établissements touristiques se sont attribués des étoiles que pour faire saigner la clientèle.
Si les plages de la côte-est sont relativement correctes, celles de l’Ouest sont envahies de décharges à ordures, à même la route.
De Boulimat à Béni K’sila, les APC sur ce trajet n’ont pas accompagné, du tout, les constructions qui ont poussé comme des champignons, en bord de mer et sur les flancs de la montagne, provoquant des affaissements sur cette sinueuse route du front de mer, elle-même touristique, mais encombrée également de camions de gros tonnage.
L’anarchie règne en maître également avec des immeubles qui cachent la mer de la route qui l’a surplombe.
“Des plages attrayantes, conclut avec amertume un vieux Béjaoui, c’est du passé. Et puis, le chef-lieu de wilaya est lui-même d’une saleté repoussante avec ses odeurs nauséabondes, ses nuées de moustiques et ses troupeaux de rats.”
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Posté Le : 13/05/2014
Posté par : akarENVIRONNEMENT
Photographié par : Photo: Liberté ; texte: Rubrique Radar
Source : liberte-algerie.com du dimanche 11 mai 2014