Algérie

Un cas unique de corruption



Le temps est venu pour vous présenter un cas unique de corruption active, dans les annales de la justice, à travers tous les aspects!Unique, car au cours de cette chronique, nous allons vous révéler le cas d'espèce de magistrats entendus par le tribunal criminel d'abord, puis par le défunt Conseil supérieur de la magistrature, lorsqu'il était composé de certains membres qui n'avaient rien à voir avec la noble magistrature. Heureusement, depuis l'arrivée d'Abdelmadjid Tebboune à la tête du pays, l'actuel Conseil supérieur de la magistrature a repris des couleurs, en se débarrassant des étranges étrangers à la justice, et en jouant enfin, pleinement son rôle, tel que prévu par la loi!
C'était, au moment des faits, triste pour les honnêtes magistrats, d'apprendre qu'un des leurs, «un pourtant jeune président d'un tribunal», situé dans une cour aménagée, en pleine zone steppique, avait été pris en flagrant délit de corruption active, dans un restaurant de la côte - ouest du pays, à quelques encablures de la «grande bleue»!
C'était beaucoup pour sa majesté la magistrature, déjà malmenée à l'époque par les responsables d'un ministère qui avait des directeurs entre autres, qui se permettaient tout!
C'est à ce moment-là que les gens ont sorti et jeté dans la rue, le fameux et hideux concept de la «justice du téléphone»!
Plus tard, les citoyens s'en emparèrent pour le renvoyer en pleine face des dirigeants, qui ont sucé les phalanges, et en se pourléchant les babines, en compagnie d'indélicats hommes d'affaires, dont certains croupissent en taule, aux quatre coins du pays!


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