Algérie

Un bilan affrayant Syrie, violences



Un bilan affrayant Syrie, violences
Le bilan des victimes du conflit en Syrie est désormais proche des 70.000 morts, a indiqué mardi à New York la Haut-commissaire de l'Onu aux droits de l'Homme Navi Pillay. Cette dernière avait évoqué le mois dernier un bilan de 60.000 morts au moins. "Ce chiffre est désormais sans doute proche des 70.000" morts, a-t-elle estimé devant le Conseil de sécurité des Nations unies, qui débattait de la protection des civils dans les conflits.La Haut-commissaire a, une nouvelle fois, fustigé le Conseil de sécurité pour son incapacité à agir en Syrie. "Le manque de consensus sur la Syrie et l'inaction qui en résulte ont été désastreux et les civils de tous les côtés en paient le prix", a-t-elle lancé. Le Conseil reste divisé sur la crise syrienne, la Russie et la Chine, alliées de Damas, ayant bloqué toutes les tentatives occidentales pour faire pression sur le président Bachar al-Assad. Pillay a aussi, une nouvelle fois, souhaité que la Cour pénale internationale (CPI) soit saisie des crimes de guerre commis en Syrie, ce qui nécessiterait une décision du Conseil. Une saisine de la CPI "enverrait un message clair au gouvernement (syrien) et à l'opposition en leur signalant qu'ils sont redevables de leurs actions, et pourrait avoir un effet dissuasif très important", a-t-elle estimé.
Le bilan des victimes du conflit en Syrie est désormais proche des 70.000 morts, a indiqué mardi à New York la Haut-commissaire de l'Onu aux droits de l'Homme Navi Pillay. Cette dernière avait évoqué le mois dernier un bilan de 60.000 morts au moins. "Ce chiffre est désormais sans doute proche des 70.000" morts, a-t-elle estimé devant le Conseil de sécurité des Nations unies, qui débattait de la protection des civils dans les conflits.La Haut-commissaire a, une nouvelle fois, fustigé le Conseil de sécurité pour son incapacité à agir en Syrie. "Le manque de consensus sur la Syrie et l'inaction qui en résulte ont été désastreux et les civils de tous les côtés en paient le prix", a-t-elle lancé. Le Conseil reste divisé sur la crise syrienne, la Russie et la Chine, alliées de Damas, ayant bloqué toutes les tentatives occidentales pour faire pression sur le président Bachar al-Assad. Pillay a aussi, une nouvelle fois, souhaité que la Cour pénale internationale (CPI) soit saisie des crimes de guerre commis en Syrie, ce qui nécessiterait une décision du Conseil. Une saisine de la CPI "enverrait un message clair au gouvernement (syrien) et à l'opposition en leur signalant qu'ils sont redevables de leurs actions, et pourrait avoir un effet dissuasif très important", a-t-elle estimé.


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