Algérie

Tuer au nom de qui et de quoi '


Il est clair que celui qui s'obstine à garder ses volets fermés ne voit jamais la lumière du soleil. Et même si la vie comme la mort n'a pas de nationalité, ni de pays, ni encore moins de race ou d'ethnie, la mort de chaque homme en est une de trop. La religion, par une dangereuse manipulation de l'émotion et une lobotomisation de la Raison étant devenue la première arme de destruction massive sur Terre. Alors quoi faire pour que personne ne tue au nom de Dieu. Non, Dieu ne fait pas de politique. Voulant, quel qu'en soit le prix à payer, faire durer la «paix» en continuant à faire la guerre par d'autres moyens, l'Empire fait un peu comme cet esclave de «Youssef le flamboyant», qui, en voulant faire la peau à l'auguste Emir Aek, a fini par être enterré... à Alger. La Religion aurait-elle servi à faire des hommes sur Terre des créatures venues au monde pour vivre... avant de continuer à mourir... dans une autre Vie ' Ou faudrait-il mettre toujours les dieux au pluriel, de peur qu'il y en ait un qui le prenne mal, comme cela a été bien inspiré par un défunt «lyriste» gaulois ' Un peu comme «celui qui porte sa moralité comme meilleur vêtement ferait mieux d'être nu», disait déjà Khalil Gibran, y a-t-il moyen de faire de la Religion un moyen de vivre simplement, sans se sentir obligé d'ôter la vie à celui qui ne pense ni ne vit comme l'autre ' Des «divinations» de think tank, réputées être dans le «secret des dieux» (sans mauvais jeu de mots), donnent une chance sur deux que les hommes vont continuer à s'entretuer jusqu'à l'extinction totale du genre humain sur Terre. « C'est peut-être pour ça qu'ils se préparent à habiter la Lune ou Mars », ironise un internaute. Les rues de Palestine la martyre sont baignées de sang, de larmes et de cris déchirants. À Ghaza, des centaines de milliers d'enfants ont eu 24 heures pour fuir leurs maisons ou risquer la mort.La guerre totale contre les enfants est innommable, sous le regard indifférent d'un monde anthropophage. Avant-goût «apocalyptique», la Troisième Guerre mondiale opposera l'Homme à son congénère l'homme, ce bipède qui a toujours «ensanglanté» son prochain, chacun au nom de ses propres dieux. Alors que l'inverse reste toujours à prouver !
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