Trouvez l'intrus !

«L'un de nos objectifs à long terme dans cette région est de faire en sorte que l'engagement sacro-saint que nous avons vis-à-vis de la sécurité d'Israël ne se traduise pas seulement en lui fournissant les capacités militaires dont il a besoin, pas seulement en lui permettant le genre de supériorité militaire nécessaire dans une région très dangereuse», a déclaré Obama, jeudi dernier, quelques jours avant de recevoir le Premier «sinistre» sioniste.Le Prix Poubelle de la Paix qui a été primé avant même qu'il ne fasse le petit geste de paix, c'est-à-dire juste avant son investiture, semble beaucoup plus préoccupé par sa carrière présidentielle que de la paix. Que des innocents meurent en Afghanistan, au Pakistan, en Palestine, quels états d'âme pourrait-il avoir ' Aucun ! Encore, donc, un président américain à la solde des sionistes. Et pourtant, le bonhomme n'arrête pas de nous sortir le «grand jeu» de la «démocratie», des «droits de l'homme», de la protection des civils, et la litanie est longue. A l'image de ses prédécesseurs, il n'a pas échappé au syndrome sioniste. D'ailleurs, ce «petit» régime, aux larmes de crocodile et qu'Obama soutient, ne cesse de souffler le chaud et le froid sur une attaque préventive contre l'Iran. Selon les déclarations du Premier «sinistre» sioniste, le dossier iranien serait le «principal sujet» de ses entretiens avec le président américain. «L'Iran continue à avancer rapidement et avec arrogance dans son programme nucléaire en méprisant totalement les décisions de la communauté internationale», a prévenu le Premier «sinistre» sioniste, avant d'assurer qu'il se réserve «toutes les options» face à cette menace. Ces propos méritent quand même une courte halte. Quand un criminel de cette trempe s'évertue à parler d'«arrogance», de «mépris» des décisions de la «communauté internationale», on en est que sidéré devant ce manque de scrupule. Le Premier «sinistre» aurait-il oublié toutes les résolutions onusiennes «méprisées» par son régime ' Dans cet élan d'effronterie, Washington se laisse aller au souffle sioniste en affirmant que «toutes les options sont sur la table» face à l'Iran, mais estime que le régime islamique n'a pas entrepris de construire une arme nucléaire. «Donc, nous avons du temps et de la latitude pour continuer la politique que nous avons appliquée depuis que le président a pris ses fonctions», a déclaré mercredi le porte-parole de la Maison-Blanche, Jay Carney, allusion au régime de sanctions internationales imposées au régime. A travers cette déclaration, pas besoin de vous faire un dessin sur le paradoxe flagrant de la diplomatie américaine. D'une part, ce porte-parole nous dit que «l'Iran n'a pas entrepris de construire l'arme nucléaire» et de l'autre, on continue l'application des sanctions. Trouvez l'intrus !