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Lors de l'atelier consacré à la sous-traitance dans la filière automobile en Algérie, auquel ont assisté des industriels allemands et des représentants d'entreprises algériennes, tels que la SNVI, l'Agence nationale de développement de la PME, les experts et les différents intervenants du Forum économique algéro-allemand ont mis en exergue la nécessité de promouvoir la sous-traitance en Algérie pour accompagner l'industrie automobile naissante, à l'image de RenaultProduction Algérie, Mercedes Benz, Draimler, qui travaillent en coopération et en partenariat avec des entreprises algériennes.Lors de l'atelier consacré à la sous-traitance dans la filière automobile en Algérie, auquel ont assisté des industriels allemands et des représentants d'entreprises algériennes, tels que la SNVI, l'Agence nationale de développement de la PME, les experts et les différents intervenants du Forum économique algéro-allemand ont mis en exergue la nécessité de promouvoir la sous-traitance en Algérie pour accompagner l'industrie automobile naissante, à l'image de RenaultProduction Algérie, Mercedes Benz, Draimler, qui travaillent en coopération et en partenariat avec des entreprises algériennes.Ainsi, le directeur général de la SNVI, Tazarouti, a souligné « qu'on peut se charger de fabriquer toutes les pièces de rechange automobile afin d'augmenter le taux d'intégration de ces produits en Algérie et assurer notre part de la valeur ajoutée dans l'industrie automobile ».Pour cela, il estime "qu'il est impérieux de créer une structure complète de sous-traitance avec un meilleur apport de l'industrie nationale". Pour sa part, Bachir Dehimi, responsable de la coopération industrielle, technique et technologique algéro-française et président de la Société de gestion des participations (SGP) Equipag , il a indiqué qu'il faut cinq années pour homologuer un produit, d'où la nécessité de trouver des partenaires ayant déjà des technologies de fabrication pour gagner du temps.« Il s'agit de développer la sous-traitance et s'associer avec des partenaires pour accélérer le processus.Le projet de Renault Production Algérie d'Oran n'est pas le seul nécessitant la sous-traitance. En effet, d'autres projets concernant le secteur mécanique sont en cours de réalisation à Constantine, notamment le projet en coopération avec les industriels américains Ferguson pour la fabrication de 5 000 tracteurs et la perspective de porter ce chiffre à 10 000 tracteurs par an », a-t-il affirmé.Un autre projet est en phase d'exécution avec des partenaires allemands dont on prévoit la construction de 5 00 engins de matériels des travaux publics.Par ailleurs, un projet est en réalisation et a trait à la fabrication de 25 000 moteurs pour équiper tout ce qui va rouler en Algérie, notamment les tracteurs et les camions, selon Dehimi.« D'où la nécessité de développer le secteur de la sous-traitance en Algérie avec des partenaires espagnols pour produire 4 00 engins de compactage par an », a-t-il dit.A Sidi Bel-Abbès,il existe un projet pour fabriquer 1 000 moissonneuses-batteuses par an. Par conséquent, les besoins, en matière de sous-traitance sont devenus importants. « Nous cherchons à identifier 5 00 sous-traitants, tandis que 113 sous-traitants potentiels sont déjà identifiés », a t-il précisé. Un projet de distribution des produits Draimler vise à surmonter les problèmes de la qualité en Algérie, alors qu'une société est en voie de création dans un délai d'un mois.Ainsi, le directeur général de la SNVI, Tazarouti, a souligné « qu'on peut se charger de fabriquer toutes les pièces de rechange automobile afin d'augmenter le taux d'intégration de ces produits en Algérie et assurer notre part de la valeur ajoutée dans l'industrie automobile ».Pour cela, il estime "qu'il est impérieux de créer une structure complète de sous-traitance avec un meilleur apport de l'industrie nationale". Pour sa part, Bachir Dehimi, responsable de la coopération industrielle, technique et technologique algéro-française et président de la Société de gestion des participations (SGP) Equipag , il a indiqué qu'il faut cinq années pour homologuer un produit, d'où la nécessité de trouver des partenaires ayant déjà des technologies de fabrication pour gagner du temps.« Il s'agit de développer la sous-traitance et s'associer avec des partenaires pour accélérer le processus.Le projet de Renault Production Algérie d'Oran n'est pas le seul nécessitant la sous-traitance. En effet, d'autres projets concernant le secteur mécanique sont en cours de réalisation à Constantine, notamment le projet en coopération avec les industriels américains Ferguson pour la fabrication de 5 000 tracteurs et la perspective de porter ce chiffre à 10 000 tracteurs par an », a-t-il affirmé.Un autre projet est en phase d'exécution avec des partenaires allemands dont on prévoit la construction de 5 00 engins de matériels des travaux publics.Par ailleurs, un projet est en réalisation et a trait à la fabrication de 25 000 moteurs pour équiper tout ce qui va rouler en Algérie, notamment les tracteurs et les camions, selon Dehimi.« D'où la nécessité de développer le secteur de la sous-traitance en Algérie avec des partenaires espagnols pour produire 4 00 engins de compactage par an », a-t-il dit.A Sidi Bel-Abbès,il existe un projet pour fabriquer 1 000 moissonneuses-batteuses par an. Par conséquent, les besoins, en matière de sous-traitance sont devenus importants. « Nous cherchons à identifier 5 00 sous-traitants, tandis que 113 sous-traitants potentiels sont déjà identifiés », a t-il précisé. Un projet de distribution des produits Draimler vise à surmonter les problèmes de la qualité en Algérie, alors qu'une société est en voie de création dans un délai d'un mois.