Trois questions au secrétaire de l'ambassade de la République de Pologne à Alger, Maciej Kowalski

Midi Libre : M. Marciej Kowalski, coment qualifiez-vous votre présence au sein de la 7e édition "Equip Auto Algérie"'
Marciej Kowalski : C'est une occasion pour nous de présenter les produits polonais aux professionnels algériens de l'automobile et pas nécessairement ce secteur, puisque d'autres secteurs intéressent les hommes d'affaires polonais. Avant tout, je qualifie notre participation de très positive vu que les représentants des sociétés polonaises, à l'image de l'Association des producteurs des pièces automobiles ( SMOC), qui est gérée par Mme. Karolina Domwaska et qui regroupe plus de 1.000 sociétés polonaises, ont eu beaucoup d'idées sur le marché algérien et sur ses besoins.
Parlons d'investissements et les opportunités qu'offre le marché algérien. Pensez-vous que l'Algérie est un pays stratégique dans la Méditérranée et que la Pologne veut, aujourd'hui, reconquérir ce marché '
Absolument. Oui, l'Algérie est un pays très prometteur et les chances d'investir sont énormes, vu le programme mis en place par le gouvernement algérien dans le cadre de la relance de son économie et les projets à réaliser à long terme. Pour la Pologne, nous sommes très intéressés par ces projets, cela dans tous les secteurs confondus. Je pense que l'expérience acquise par les sociétés polonaises, à l'image des sociétés industrielles d'automobiles, offre beaucoup de chances pour coopérer ensemble, c'est-à-dire, entre les deux pays, l'Algérie et la Pologne.
Donc, on va assister, à un retour en force des compagnies polonaises en Algérie comme c'était le cas durant les années 70 et 80, malgré une éclipse qui aura duré plusieurs dizaines d'années '
C'est la raison pour laquelle nous sommes présents aujourd'hui au Salon d'automobile. Pas uniquement ce salon puisqu'il y aura d'autres occasions à court terme et où les sociétés polonaises seront présentes. Aujourd'hui, la Pologne est en mesure d'accompagner l'Algérie dans son programme, mais faut-il avoir des partenaires algériens fiables pour concrétiser cette coopération tant attendue.
Midi Libre : M. Marciej Kowalski, coment qualifiez-vous votre présence au sein de la 7e édition "Equip Auto Algérie"'
Marciej Kowalski : C'est une occasion pour nous de présenter les produits polonais aux professionnels algériens de l'automobile et pas nécessairement ce secteur, puisque d'autres secteurs intéressent les hommes d'affaires polonais. Avant tout, je qualifie notre participation de très positive vu que les représentants des sociétés polonaises, à l'image de l'Association des producteurs des pièces automobiles ( SMOC), qui est gérée par Mme. Karolina Domwaska et qui regroupe plus de 1.000 sociétés polonaises, ont eu beaucoup d'idées sur le marché algérien et sur ses besoins.
Parlons d'investissements et les opportunités qu'offre le marché algérien. Pensez-vous que l'Algérie est un pays stratégique dans la Méditérranée et que la Pologne veut, aujourd'hui, reconquérir ce marché '
Absolument. Oui, l'Algérie est un pays très prometteur et les chances d'investir sont énormes, vu le programme mis en place par le gouvernement algérien dans le cadre de la relance de son économie et les projets à réaliser à long terme. Pour la Pologne, nous sommes très intéressés par ces projets, cela dans tous les secteurs confondus. Je pense que l'expérience acquise par les sociétés polonaises, à l'image des sociétés industrielles d'automobiles, offre beaucoup de chances pour coopérer ensemble, c'est-à-dire, entre les deux pays, l'Algérie et la Pologne.
Donc, on va assister, à un retour en force des compagnies polonaises en Algérie comme c'était le cas durant les années 70 et 80, malgré une éclipse qui aura duré plusieurs dizaines d'années '
C'est la raison pour laquelle nous sommes présents aujourd'hui au Salon d'automobile. Pas uniquement ce salon puisqu'il y aura d'autres occasions à court terme et où les sociétés polonaises seront présentes. Aujourd'hui, la Pologne est en mesure d'accompagner l'Algérie dans son programme, mais faut-il avoir des partenaires algériens fiables pour concrétiser cette coopération tant attendue.