Trois intouchables aux arrêts

Coup de tonnerre hier sur le ciel Algérie ou de très puissantes personnalités, qui, il n'y a pas si longtemps,,étaient considérées comme des faiseuses de rois et jouissaient d'un immense pouvoir, ont été mises auxarrêts.Coup de tonnerre hier sur le ciel Algérie ou de très puissantes personnalités, qui, il n'y a pas si longtemps,,étaient considérées comme des faiseuses de rois et jouissaient d'un immense pouvoir, ont été mises auxarrêts.
Il s'agit de Saïd Bouteflika, le frère du Président démissionnaire et son conseiller tout au long de son longrègne de 20 ans, et des généraux Slimane Tartag, dit Bachir, et MohamedMediéne, dit Toufik, deux ancienspatrons des services de renseignements.Le général Toufik a présidé les destinéesdu DRS durant 25 ans, soit depuissa création jusqu'à son limogeage par lePrésident Bouteflika en 2010 alors queson successeur, le général Tartag adirigé les services de renseignements,qui ont changé d'appellation, de 2015jusqu'à son départ ou son limogeage le 2avril dernier. Selon certaines sources Ilssont actuellement auditionnés par lesservices de la DGSI, dans le cadre de l'enquête sur leurs activités, qui ont été dénoncées par le chef d'état-major de l'ANP.
Le général Ahmed Gaïd Salah avait accusé publiquement Toufik de comploter contre l'armée et le mouvement populaire, avant de lui lancer un dernier avertissement, le sommant de cesser ses activités. Pour le général Tartag, il était considéré comme proche du clan présidentiel, notamment de Saïd Bouteflika. Il avait démissionné de son poste de chef de la Direction des services desécurité (DSS) le même jour de la, émission de Bouteflika, le 2 avril dernier. Le chef d'état-major de l'ANP avait accusé également, sans le nommer, Saïd Bouteflika d'être à la tête de la issaba (bande) qui a confisqué le pouvoir présidentiel. Selon le général Khaled Nezzar le frèrecadet de l'ex-Président Bouteflika, voulaitinstaurer l'état d'urgence ou l'état de siège, et avait même envisagé de limoger Gaïd Salah. Sa chute était donc prévisible, ce d'autant que sa tête étaitaussi demandée avec insistance par les manifestations du vendredi
Il s'agit de Saïd Bouteflika, le frère du Président démissionnaire et son conseiller tout au long de son longrègne de 20 ans, et des généraux Slimane Tartag, dit Bachir, et MohamedMediéne, dit Toufik, deux ancienspatrons des services de renseignements.Le général Toufik a présidé les destinéesdu DRS durant 25 ans, soit depuissa création jusqu'à son limogeage par lePrésident Bouteflika en 2010 alors queson successeur, le général Tartag adirigé les services de renseignements,qui ont changé d'appellation, de 2015jusqu'à son départ ou son limogeage le 2avril dernier. Selon certaines sources Ilssont actuellement auditionnés par lesservices de la DGSI, dans le cadre de l'enquête sur leurs activités, qui ont été dénoncées par le chef d'état-major de l'ANP.
Le général Ahmed Gaïd Salah avait accusé publiquement Toufik de comploter contre l'armée et le mouvement populaire, avant de lui lancer un dernier avertissement, le sommant de cesser ses activités. Pour le général Tartag, il était considéré comme proche du clan présidentiel, notamment de Saïd Bouteflika. Il avait démissionné de son poste de chef de la Direction des services desécurité (DSS) le même jour de la, émission de Bouteflika, le 2 avril dernier. Le chef d'état-major de l'ANP avait accusé également, sans le nommer, Saïd Bouteflika d'être à la tête de la issaba (bande) qui a confisqué le pouvoir présidentiel. Selon le général Khaled Nezzar le frèrecadet de l'ex-Président Bouteflika, voulaitinstaurer l'état d'urgence ou l'état de siège, et avait même envisagé de limoger Gaïd Salah. Sa chute était donc prévisible, ce d'autant que sa tête étaitaussi demandée avec insistance par les manifestations du vendredi