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A quoi peuvent servir des feux réglementant la circulation s'ils ne
fonctionnent pas depuis plusieurs années ? C'est la question que se posent les
usagers de la trémie de l'hôpital d'Oran traversant la rue des frères Bouchakour
et reliant l'établissement aux services de pneumo-phtisiologie et de
psychiatrie appelés communément Glatar et pavillon 35. Actuellement, les
automobilistes voulant emprunter la trémie doivent faire usage de leurs
avertisseurs sonores alors que cela est interdit dans un espace devant être
calme.
Qu'à cela ne tienne, tout est
permis au CHU d'Oran et les usagers sont souvent pris au piège car, parfois, il
est difficile d'entendre le klaxon sur une distance de près de 100 mètres et là
l'un des usagers devra faire marche arrière, une manÅ“uvre difficile d'autant
que la pente est raide. L'usage de cette trémie pose déjà problème avec des
piétons qui s'aventurent à la prendre alors que la solution est toute simple, à
savoir deux portails de part et d'autre. Par ailleurs, il est signaler que
cette trémie devient impraticable notamment en saison pluviale en raison d'un
système d'évacuation qui reste pour le moins obsolète. Et à chaque inondation,
il est fait appel à des équipes pour le refoulement des importantes quantités
d'eaux pluviales emmagasinées au fond du passage. Pourtant, les feux de passage
ont fonctionné depuis l'ouverture de la trémie et il faudrait qu'une petite
opération d'entretien pour les remettre en marche.
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Posté Le : 21/07/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : S C
Source : www.lequotidien-oran.com