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Transfert : Medouar : 'Le Sporting Braga veut engager Soudani"



Transfert : Medouar : 'Le Sporting Braga veut engager Soudani
L'attaquant international algérien, Hilal Soudani, actuellement au club portugais de Vitoria Guimaraes, intéresse sérieusement une autre formation de première division de ce pays, le Sporting Braga, a indiqué mardi l'ancien président du joueur à l'ASO Chlef (Ligue 1, Algérie) Abdelkrim Medouar. "L'agent portugais chargé des affaires de Soudani m'a appelé récemment pour me signifier l'intérêt du Sporting Braga pour le joueur. Mais la présence de ce dernier avec l'équipe nationale en Afrique du Sud risque de reporter la conclusion de la transaction à l'été prochain", a révélé Medouar à l'APS. Vitoria Guimaraes a engagé l'attaquant algérien en août 2011 contre la somme de 700 000 euros. Mais le champion d'Algérie lors de la saison 2010-2011 ne l'a toujours pas encaissée, poussant les dirigeants chélifiens à déposer plainte auprès de la fédération internationale de football (FIFA). "L'intérêt de Braga pour Soudani est tombé à point nommé car un éventuel transfert du joueur pourrait nous permettre de récupérer notre dû qu'on attend de Vitoria depuis une année et demie", a expliqué Medouar, qui occupe actuellement le poste de porte-parole de l'ASO. Néanmoins, la présence de Soudani (25 ans) en Afrique du Sud pour participer à la coupe d'Afrique des nations (CAN-2013) n'encourage pas Braga de le recruter au cours de l'actuelle période des transferts d'hiver qui sera clôturée le 31 janvier en cours, selon la même source. Une hypothèse non souhaitée par la direction du club algérien qui place tous ses espoirs sur cette éventuelle transaction pour enfin bénéficier des indemnités du transfert de Soudani en Portugal, a reconnu Medouar. "Certes, la FIFA est en passe de demander à la fédération portugaise de défalquer des points du compteur de Vitoria dans le championnat en guise de sanction, mais cela nous importe peu car nous avons un besoin vital de l'argent du transfert de Soudani, au vu des difficultés financières auxquelles on fait face", a-t-il encore dit.


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