Algérie

tragédies D'hier et d'aujourd'hui



tragédies D'hier et d'aujourd'hui
Résumé de la 16e partie n Même avec le train et les volets sortis, l'appareil conserve une vitesse trop élevée.La piste mesure 2800 mètres. 900 mètres de plus qu'il n'en faut en temps normal à un DC10 pour s'arrêter. Mais l'avion est non seulement trop rapide, mais en plus il est en surcharge. Les 2800 mètres risquent d'être courts. A l'arrière le match est sur le point de s'achever. Le mécanicien navigant Andy Peterson réussit à s'emparer du marteau. «J'étais là à le supplier. Je lui ai dit tu sais Andy tu dois le frapper. Il veut notre peau», dit le contrôleur Kent Fleshman. «Je crois que je lui ai répondu d'un regard vide qui signifiait?: qu'es-tu en train de me dire?' Il m'a regardé très durement comme un père regarderait son fils. Il m'ordonnait d'agir. Puis il m'a dit?: frappe-le?!», dit Andy Peterson. «Frappe-le?! Frappe-le?! C'est lui ou nous?!», crie le copilote Jim Tucker. Le DC10 est maintenant en approche finale pour la piste 36. Sa vitesse est encore de 210 n'uds. Presque 390 km/h. 25% trop vite. La piste sera-t-elle suffisamment longue?' Les 10 pneus du train vont-ils résister?' Finalement, le commandant Sanders arrête sa machine à 300 mètres du bout de la piste. L'avion est intact et les hommes sont sauvés. Enfin, ils le seront lorsque le forcené sera définitivement maîtrisé. «Ouvre leur la porte», crie le commandant. «Les toboggans de secours sont recouverts d'une poudre qui ressemble à du talc. C'est pour éviter qu'ils ne restent collés au moment de leur déploiement. En revanche si on veut les escalader, cela rend la chose plus difficile. Des policiers et des pompiers ont essayé de grimper. Le premier à réussir était un pompier. Alors je me suis penché et je l'ai aidé à monter à bord», raconte le commandant. «Où est le pirate?'», demande le pompier. «C'est lui là.», répond le mécanicien navigant Andy Peterson. «Il y avait du sang partout. Sur le sol. Sur le plafond. Les sièges à l'avant eux aussi étaient maculés», raconte le pompier. «Vous avez des menottes?'» demande, le commandant au pompier. «Non» répond ce dernier. «Vous devriez vous en procurer. Ce salopard est encore dangereux». «J'ai besoin d'une paire de menottes. Lancez m'en une?!» crie le pompier du haut de l'avion.A suivre




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