Algérie

tragédies d'hier et d'aujourd'hui



tragédies d'hier et d'aujourd'hui
Résumé de la 4e partie ? 14h11 : à bord du DC 9, le commandant Candaline Cubeck se bat contre son avion. Il semblerait que les commandes ne répondent plus normalement.En cabine, la température continue à grimper. Jenifer Sterns, la chef de cabine principale, fait alors irruption dans le cockpit et demande pourquoi les pilotes n'ont pas libéré les masques à oxygènes des passagers. «On a besoin d'oxygène à l'arrière», dit-telle. Les pilotes refusent. Comprenant qu'ils n'arriveront pas à Miami, ils demandent où se trouve l'aéroport le plus proche. De là ou il est, le touriste Daniel Mulop comprend qu'un drame est en train de se jouer sous ses yeux. «L'avion semblait incontrôlable», indique-t-il. 14h13?: sur un des canaux Chris Oceola pêche avec son oncle, Sam Nelson. Tous deux remarquent le DC9. «Sam?! regardes cet avion. Je ne vois ni flammes ni fumées. Le train est relevé. Il fait des manœuvres bizarres», dit Chris. L'appareil passe à quelques centaines de mètres au dessus des deux pêcheurs. 14h14?: à bord, les passagers et l'équipage ont perdu connaissance. 14h15?: neuf minutes et 27 secondes se sont écoulés depuis le décollage, lorsque le vol 592 s'écrase dans les Everglades. Des photos prises depuis l'avion de tourisme quelques secondes après l'accident ne montrent qu'une flaque de carburant noirâtre à la surface des marais. Daniel Mulop avertit le contrôle aérien de Miami qu'il vient de voir un avion s'écraser. Puis il se met à tourner à l'aplomb du lieu du drame, pour permettre au service de secours de localiser l'épave. Chris Oceola prend lui aussi des photos. Lorsque les deux pêcheurs arrivent au sommet de la digue, il règne un climat inquiétant. Les marais ont englouti l'avion de 48 tonnes. «On ne voyait rien. On n'entendait rien, à par quelques oiseaux. Mais on sentait une odeur de carburant», raconte Chris. Le lieu de l'accident est à 270 mètres de la digue la plus proche. Et à 14 kilomètres de la première route. Les secours qui ne peuvent donc y arriver que par hydroglisseurs et par hélicoptères découvrent un spectacle horrible.Félix Jimenez de la police de Miami Dade, est un des premiers à arriver sur place. «En m'approchant du lieu de l'accident, j'ai constaté qu'un avion s'était écrasé là, mais il était en tous petits morceaux», raconte le policier. (A suivre...)




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