Certains citoyens pratiquent des transactions commerciales qui devraient être l'exclusivité du secteur public ou d'agents dûment reconnus et agréés, l'exemple frappant illustré vient de ces opportunistes qui écoulent des timbres fiscaux sous le manteau à des prix doubles juste aux alentours des bureaux de poste et sont jamais inquiétées par les services de police qui sont en faction sur les lieux et qu'en principe les habitués de ces pratiques ne peuvent échapper à leurs regards.Les citoyens devant retirer leurs documents judiciaires se trouvent presque contraints de se rabattre sur ces opportunistes, sachant qu'ils seront déçus de ne pas trouver ces timbres au niveau des agences postales, ni au niveau des bureaux des recettes. La question qui se pose et qui revient avec insistance, d'où et comment ces spéculateurs ont pu se procurer ce produit et en grande quantité ' Y a-t-il un contrôle au niveau des agences postales et des administrations fiscales ' Malheureusement, ces questions resteront sans réponse. En outre, nous assistons ces derniers jours à une hausse des prix pratiqués sur les produits de première nécessité subventionnés par l'Etat, comme le lait, la semoule. Ces deux produits sont proposés à des prix dépassant tout entendement. Pour le lait, depuis le mois sacré de Ramadhan, il est cédé à 30 et même 35 DA sans que les structures de contrôle ne réagissent. La semoule qui est fixée à 4.000 DA le quintal, se vend ouvertement à 600 DA le sac de 10 kg, soit 6000 DA le quintal.
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Posté Le : 11/11/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : N Malik
Source : www.lnr-dz.com