Rien ne va plus dans les couloirs des ?uvres sociales suite à la dernière élection de la nouvelle équipe. Selon certaines sources le torchon brûle avec les membres de l'UGTA au nombre de quatre majoritaires pour rafler le fauteuil de la présidence et les cinq autres des différents syndicats.Le nouveau staff est composé de 4 membres (UGTA) , 3 ( Cnapest) et le duo de l' Unpef mais le fauteuil revient aux représentants de la Cnapest après avoir négocié avec un syndicaliste qui roule sous la casquette de Sidi Saïd. Cette action a divisé les rangs et quatre membres ont claqué la porte pour interpeller la haute instance pour intervenir et prendre le problème au sérieux sur la gestion catastrophique et chaotique et de faire la lumière sur les 60 milliards de cts consommés durant les deux dernières années soit une moyenne de 3 milliards/mois. Ce divorce mène les quatre membres (UGTA ? Cnapest) de boycotter les délibérations et refusent de signer le fameux procès- verbal d'installation jusqu'à nouvel ordre selon eux. Les syndicalistes écartés interpellent, la haute instance pour faire la lumière de la gestion et demandent où est passée la cagnotte des 10 milliards de cts injectée pour l'année 2015/2016, qui a été consommée pure et simple, dit ?on. Le plus grave les bilans (moral et financier) non approuvés à ce jour et l'opposition interpelle la haute instance pour enquêter sur les 800 prêts versés aux pseudo-bénéficiaires d'un montant de 105 000 DA avant les délais en guise de rafler le maximum de voix. Des accusations graves à l'encontre de l'équipe sortante, faut ? il aussi signaler. Les représentants indélicats ont bénéficié chacun d'eux des prêts allant de 200 000 à 500 000 DA chacun et des billets de voyage ?' en série ?' Omra ?' s'ajoutent des excursions à l'étranger au frais de la princesse pour leurs proches. Par ailleurs, on nous signale le fameux chapitre des frais de mission, la prime des 20 000 DA, et autres fausses écritures au volet des délibérations nous ajoutent les mécontents. Plus de 60 milliards destinés aux ?uvres sociales sont déviés vers d'autres cieux ?' charité bien ordonnée a commencé par soi? même ?'. Plus grave encore on avance la disparition des écritures comptables sur les achats fictifs, nous ajoute une source proche à l'exemple des tenues , des ballons, cadeaux et autres objets en plastique estimés à 5 000 DA la pièce dont le prix réel revient à l'achat d'un paquet de cigarettes. A Tiaret tout doit se telescoper sur une gestion transformée par la force des choses pour des fins personnelles dont le collectif a bien bénéficié des séjours de l'autre Eldorado à maintes reprises, nous confirme que les lois de la République ont été bafouées et des chapitres anonymes figurent sur la gestion des ?uvres sociales. A Tiaret tout se transforme, si le premier trouve son compte le second préfére rafler le maximum des voix ?' présidence oblige ?'. Un organisme fantôme, un président à vie et les scandales en série à la taverne d'Ali Baba. Affaire à suivre de près.
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Posté Le : 18/07/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Hamzaoui Benchohra
Source : www.lnr-dz.com