Algérie

Tous pour le changement


Des Algériens sont à nouveau dans la rue! Hier encore et pour le 25e vendredi consécutif, les manifestants ont battu le pavé à Alger et dans la plupart des villes du pays, pour réclamer le changement radical et le départ de tous les symboles du système politique.Des Algériens sont à nouveau dans la rue! Hier encore et pour le 25e vendredi consécutif, les manifestants ont battu le pavé à Alger et dans la plupart des villes du pays, pour réclamer le changement radical et le départ de tous les symboles du système politique.
Les fortes chaleurs qui caractérisent le pays ces derniers jours, comme c'était le cas hier encore, n'ont pas dissuadé les manifestants pour descendre en masse dans les rues.Très déterminés pour imposer le changement qu'ils n'ont eu de cesse de réclamer depuis le 22 février dernier, ils ont, de nouveau, scandé les slogans habituels qui font la caractéristique de ce mouvement populaire, semaine après semaine. Ils n'étaient certainement pas aussi nombreux que lors des premières semaines du début du mouvement populaire, mais leur détermination est restée intacte.
Dans la capitale, Alger, le dispositif sécuritaire était similaire aux vendredis passés. De la Place Audin à la Grande Poste, la présence policière était assez visible. Les manifestants d'Alger convergent tous vers ces deux lieux emblématiques du Hirak. Les manifestants ont de nouveau scandé leurs slogans préfèrés."Dawla madania, machi askaria" (Etat civil non militaire), "Non au dialogue avec les bandes", "Djazair hora dimocratia", "justice indépendante", "Echaab Yourid ElIstiklal" (le peuple veut l'indépendance), ont été, entres autres, les slogans les plus employés. Les manifestants ont, une fois encore, revendiqué le départ de tous les symboles de l'ancien régime. Le président de l'Etat par intérim, Abdelkader Bensalah, et le Premier ministre, Nouredine Bedoui, sont toujours indésirables, puisque les foules ont réclamé hier encore, leurs départs. Certains manifestants ont fustigé l'instance de dialogue et de médiation, en s'en prenant notamment, à son coordonateur, Karim Younes.
Certains manifestants s'en sont aussi pris au chef d'Etat major de l'ANP. Des manifestants ont aussi scandé des slogans contre le dialogue, tel que voulu par le pouvoir. "Non au dialogue avec la bande" a été repris à maintes reprises, un peu partout sur l'ensemble du territoire national. Ils ont de même, encore une fois, appelé avec force, à la libération des détenus du Hirak. C'est dire, que le moudjahid Lakhdar Bouragaa et les jeunes militants emprisonnés pour avoir brandi le drapeau amazigh, ne sont pas oubliés. Avant-hier jeudi, pour rappel, un manifestant détenu à Annaba, a été libéré par le justice. Les manifestants ont réitéré leur détermination à poursuivre leur mouvement
Les fortes chaleurs qui caractérisent le pays ces derniers jours, comme c'était le cas hier encore, n'ont pas dissuadé les manifestants pour descendre en masse dans les rues.Très déterminés pour imposer le changement qu'ils n'ont eu de cesse de réclamer depuis le 22 février dernier, ils ont, de nouveau, scandé les slogans habituels qui font la caractéristique de ce mouvement populaire, semaine après semaine. Ils n'étaient certainement pas aussi nombreux que lors des premières semaines du début du mouvement populaire, mais leur détermination est restée intacte.
Dans la capitale, Alger, le dispositif sécuritaire était similaire aux vendredis passés. De la Place Audin à la Grande Poste, la présence policière était assez visible. Les manifestants d'Alger convergent tous vers ces deux lieux emblématiques du Hirak. Les manifestants ont de nouveau scandé leurs slogans préfèrés."Dawla madania, machi askaria" (Etat civil non militaire), "Non au dialogue avec les bandes", "Djazair hora dimocratia", "justice indépendante", "Echaab Yourid ElIstiklal" (le peuple veut l'indépendance), ont été, entres autres, les slogans les plus employés. Les manifestants ont, une fois encore, revendiqué le départ de tous les symboles de l'ancien régime. Le président de l'Etat par intérim, Abdelkader Bensalah, et le Premier ministre, Nouredine Bedoui, sont toujours indésirables, puisque les foules ont réclamé hier encore, leurs départs. Certains manifestants ont fustigé l'instance de dialogue et de médiation, en s'en prenant notamment, à son coordonateur, Karim Younes.
Certains manifestants s'en sont aussi pris au chef d'Etat major de l'ANP. Des manifestants ont aussi scandé des slogans contre le dialogue, tel que voulu par le pouvoir. "Non au dialogue avec la bande" a été repris à maintes reprises, un peu partout sur l'ensemble du territoire national. Ils ont de même, encore une fois, appelé avec force, à la libération des détenus du Hirak. C'est dire, que le moudjahid Lakhdar Bouragaa et les jeunes militants emprisonnés pour avoir brandi le drapeau amazigh, ne sont pas oubliés. Avant-hier jeudi, pour rappel, un manifestant détenu à Annaba, a été libéré par le justice. Les manifestants ont réitéré leur détermination à poursuivre leur mouvement
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