Tous les chantiers doivent accélérer leur cadence

Le gouvernement d'Ahmed Ouyahia a instruit tous leswalis d'accélérer les divers chantiers de réalisation. Le logement, l'accès à l'eau potable, la santé et l'investissement seront prioritaires.Le gouvernement d'Ahmed Ouyahia a instruit tous leswalis d'accélérer les divers chantiers de réalisation. Le logement, l'accès à l'eau potable, la santé et l'investissement seront prioritaires.
Ce sont les dernières instructions du Premier ministre à l'adresse des walis pour "donner plus de dynamique à la réalisation des projets initiés depuis quelques temps dans le cadre de leurmise en valeur". Selon une source proche du gouvernement, cesinstructions sont l'émanation même de la feuille de route du président de laRépublique qui veut que le gouvernement doive impérativement "agir en profondeur sur la gouvernance économiquedes structures de l'Etat afin decréer les cohérences des processus industriels (...) en stimulant l'innovation et multipliant les synergies".
Aceteffet, le Chef de l'Etat exige du gouvernement plus d'impact dans les différentes réalisations. A son tour, le Premier ministre a instruit ses ministres de "veiller avec précision au déroulementdes différents chantiers et ne pas occulterl'importance des délais". A cetégard, les dossiers du logement, lasanté, l'eau et les facilitations qui doivent être accordées aux investisseurssont les plus urgents dans leur traitement.Selon la même source, tous lesministres sont concernés par leur déplacementdans les différentes régions du pays afin d'ouvrir "la communicationdirecte avec les citoyens". Si auparavantles walis et les ministres devaients'entourer de "mesures protocolaires"durant leurs visites, il en est autrement avec les dernières instructions d'Ahmed Ouyahia.
Ce dernier voudrait que les walis interviennent directement dans la gestion des projets à travers des inspections sur terrain et doivent "être àl'écoute des doléances citoyennes et non pas de se contenter de mesures administratives en termes de gestion". Selon des comptes rendus établis à cet effet "il n'existe pas de problèmes definancement des projets" mais de retards de réalisation qui sont imputés selon le rythme imprimé pour chaque secteur.
D'ailleurs, on a vu récemment que les ministres de l'Habitat, de l'Energie, des Ressources en eau et celui de l'Intérieur multiplier les visites 3 à 4 fois la semaine pour s'enquérir réellement des travaux de certains chantiers. Même s'il y a des mesures d'austérité dictées par la conjoncture, les walis ont reçu des dotations budgétaires suffisantes pour compléter ou achever les dits projetsdans les délais qui leur sont impartis.
En un mot, le gouvernement d'Ouyahia est sur la sellette depuis le début de cette année et n'a pas d'autres choix que d'exécuter la feuille de route du président de la République. Sur le chapitre du front social, le Premier ministre oblige les walis à se déployer pour mettre fin au statu quo dans le monde du travail. Les initiatives de dialogue avec les partenaires sociaux ne sont plus une option, mais une directive claire pour dénouer les conflits etcontentieux qui parfois paralysent des secteurs entiers.
Ce sont les dernières instructions du Premier ministre à l'adresse des walis pour "donner plus de dynamique à la réalisation des projets initiés depuis quelques temps dans le cadre de leurmise en valeur". Selon une source proche du gouvernement, cesinstructions sont l'émanation même de la feuille de route du président de laRépublique qui veut que le gouvernement doive impérativement "agir en profondeur sur la gouvernance économiquedes structures de l'Etat afin decréer les cohérences des processus industriels (...) en stimulant l'innovation et multipliant les synergies".
Aceteffet, le Chef de l'Etat exige du gouvernement plus d'impact dans les différentes réalisations. A son tour, le Premier ministre a instruit ses ministres de "veiller avec précision au déroulementdes différents chantiers et ne pas occulterl'importance des délais". A cetégard, les dossiers du logement, lasanté, l'eau et les facilitations qui doivent être accordées aux investisseurssont les plus urgents dans leur traitement.Selon la même source, tous lesministres sont concernés par leur déplacementdans les différentes régions du pays afin d'ouvrir "la communicationdirecte avec les citoyens". Si auparavantles walis et les ministres devaients'entourer de "mesures protocolaires"durant leurs visites, il en est autrement avec les dernières instructions d'Ahmed Ouyahia.
Ce dernier voudrait que les walis interviennent directement dans la gestion des projets à travers des inspections sur terrain et doivent "être àl'écoute des doléances citoyennes et non pas de se contenter de mesures administratives en termes de gestion". Selon des comptes rendus établis à cet effet "il n'existe pas de problèmes definancement des projets" mais de retards de réalisation qui sont imputés selon le rythme imprimé pour chaque secteur.
D'ailleurs, on a vu récemment que les ministres de l'Habitat, de l'Energie, des Ressources en eau et celui de l'Intérieur multiplier les visites 3 à 4 fois la semaine pour s'enquérir réellement des travaux de certains chantiers. Même s'il y a des mesures d'austérité dictées par la conjoncture, les walis ont reçu des dotations budgétaires suffisantes pour compléter ou achever les dits projetsdans les délais qui leur sont impartis.
En un mot, le gouvernement d'Ouyahia est sur la sellette depuis le début de cette année et n'a pas d'autres choix que d'exécuter la feuille de route du président de la République. Sur le chapitre du front social, le Premier ministre oblige les walis à se déployer pour mettre fin au statu quo dans le monde du travail. Les initiatives de dialogue avec les partenaires sociaux ne sont plus une option, mais une directive claire pour dénouer les conflits etcontentieux qui parfois paralysent des secteurs entiers.