Algérie

Toufik se justifie, Tartag absent...



Le procès en appel de Saïd Bouteflika, Mohamed Mediène, Athmane Tartag et Louisa Hanoune s'est ouvert dimanche au tribunal militaire de Blida et ce après validation de la demande portant appel du jugement, a appris l'APS de sources proches du procès.Le procès en appel de Saïd Bouteflika, Mohamed Mediène, Athmane Tartag et Louisa Hanoune s'est ouvert dimanche au tribunal militaire de Blida et ce après validation de la demande portant appel du jugement, a appris l'APS de sources proches du procès.
Il y a eu peu d'échos ayant filté au moment où nous mettons sous presse. Il semblerait que Tartag ne se soit pas présenté au moment où Toufik a revendiqué la paternité de la lutte contre la corruption. Les accusés sont poursuivis pour des faits commis dans une enceinte militaire qualifiés par la loi de crimes de complot ayant pour but de porter atteinte à l'autorité militaire et de complot contre l'autorité de l'Etat, faits prévus et réprimés respectivement par l'article 284 du code de la justice militaire et les
articles 77 et 78 du code pénal. Le procès intervient suite à l'interjection d'appel par le collectif de défense auprès de la cour d'appel militaire, lequel a été validé. A cet effet, un dispositif sécuritaire a été mis en place autour du tribunal militaire qui connaît également la présence de nombre de médias. Pour rappel, le tribunal militaire de Blida avait condamné, le 25 septembre dernier, ces quatre accusés à quinze ans de réclusion criminelle.
Il y a eu peu d'échos ayant filté au moment où nous mettons sous presse. Il semblerait que Tartag ne se soit pas présenté au moment où Toufik a revendiqué la paternité de la lutte contre la corruption. Les accusés sont poursuivis pour des faits commis dans une enceinte militaire qualifiés par la loi de crimes de complot ayant pour but de porter atteinte à l'autorité militaire et de complot contre l'autorité de l'Etat, faits prévus et réprimés respectivement par l'article 284 du code de la justice militaire et les
articles 77 et 78 du code pénal. Le procès intervient suite à l'interjection d'appel par le collectif de défense auprès de la cour d'appel militaire, lequel a été validé. A cet effet, un dispositif sécuritaire a été mis en place autour du tribunal militaire qui connaît également la présence de nombre de médias. Pour rappel, le tribunal militaire de Blida avait condamné, le 25 septembre dernier, ces quatre accusés à quinze ans de réclusion criminelle.


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