Les autorités locales n’arrivent pas toujours à maîtriser comme il le faut le squat des trottoirs occupés par certains commerçants, tels que les cafetiers, alimentation générale et marchands en fruits et légumes, à travers la wilaya. C’est ce qui a été rapporté dans les journaux à travers plusieurs écrits de nos confrères et ce, malgré les mises en demeure, qui leur ont été sûrement adressées, en plus des rappels à l’ordre tentés par les services de l’APC et des services de sécurité, qui n’ont pas suffi à ces gens qui font fi de la loi et ce, au grand détriment du citoyen. En fait, ce dernier est bien le premier concerné dans cette affaire, du moment qu’il se voit privé de son espace piétonnier, qui lui est réservé. Ils obligent le citoyen à circuler sur la chaussée, contraignant ce dernier à partager la voie de circulation avec les conducteurs de véhicules, mettant ainsi sa vie en péril. En effet, les personnes les plus vulnérables, que sont les enfants en bas âge, les malades et les vieux, sont exposées aux risques d’être happés par un véhicule, obligées d’empiéter sur la chaussée à cause du peu d’espace, qui leur est laissé par les commerçants et autres s’adonnant à différentes autres pratiques commerciales, comme entreposer à même le trottoir leurs marchandises et leurs tables. Ces personnes (les acheteurs) essaient, comme cité déjà ci-dessus, de trouver un passage entre les véhicules empruntant cette voie de circulation. À ce moment-là, l’inévitable se produit. D’autre part, il est toujours utile de signaler qu’il a été constaté souvent des altercations entre les piétons et les conducteurs de véhicule, se rejetant la responsabilité. Qui de ces personnes est le véritable fautif ?
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Posté Le : 27/05/2018
Posté par : tlemcen2011
Ecrit par : M.DEGUI
Source : carrefourdalgerie.com