Algérie

Tlemcen en bref



 Dégradation de l'environnementL'association de préservation de l'environnement de la cité Boumdane-Mohamed de Sebdou exige de connaître le sort réservé au projet d'aménagement urbain destiné initialement à leur agglomération et qui a été transféré sur d'autres lieux de la ville. Pourtant, selon leur constat, leur cité est démunie, ni trottoir, ni carrelage, encore moins du bitumage' Sans attendre, le président de l'APC a justifié son choix par les priorités de son assemblée, surtout que le manque de moyens pour s'occuper de tous les quartiers est flagrant. Spoliation de terres agricolesDes agriculteurs de la bande frontalière continuent d'attirer l'attention des hautes autorités de l'Etat sur la spoliation de leurs terres arables par des Marocains. Les fellahs, qui indiquent que ce conflit dure depuis des années, affirment que plusieurs hectares, qui s'étendent de M'sirda dans la daïra de Bab el Assa à Roubane (Béni Boussaïd), sont impunément exploités par des cultivateurs marocains. L'élu offre des dons à la Zaouïa de Hadj NhariAccompagné de vaillants moudjahidine, de jeunes et de militants de son parti, l'élu Boualem Lalal a rendu visite, avant-hier, à la zaouïa de Sidi Djilal, construite par la grande volonté de hadj El Oued, dit Hadj Nhari, symbole de cette région frontalière. Sur place, M. Lalam, qui s'est d'abord enquis de l'avancement des travaux restants, a gratifié financièrement les lecteurs de Coran et offert des dons à l'infrastructure, avant d'avancer des promesses pour une meilleure aide consistante. « On ne peut rester insensible face à une structure théologique de ce genre ». Agents de sécurité en colèreDes agents de sécurité de la direction de l'Hydraulique de Tlemcen demandent la revalorisation de leurs salaires et la reconsidération de leurs contrats de travail. Les agents en question, dont le nombre dépasse les 300, ont recours à la presse pour dénoncer l'exploitation dont ils sont victimes. Les timbres fiscaux de moins de 50 DA introuvables à GhazaouetLes timbres fiscaux de moins de 50 DA, surtout de 20 et 30 DA, exigés pour le retrait d'un casier judiciaire ou d'un certificat de nationalité, sont introuvables au niveau du bureau de poste. Une situation qui met dans l'embarras les citoyens pour la constitution de dossiers administratifs comportant l'une des pièces sus indiquées.


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